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JackLondon - Chapitre 21 croc blanc (le long voyage), livre audio gratuit enregistré par DJ Rebel pour fichier(s) MP3 de 07min Ce site Web utilise des cookies Pour assurer une meilleure expérience à ses utilisateurs, réaliser des statistiques de visites, offrir des fonctionnalités relatives aux médias sociaux, proposer des publicités ciblées.
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JackLondon (Auteur) Aucun avis client. Donner votre avis. Croc-Blanc, mi-chien, mi-loup, est né sauvage. Capturé petit par un Indien d'Amérique, il découvre la soumission à l'homme. Mais au fond de lui, Croc-Blanc reste indomptable et fier, solitaire et cruel. En réaction à la méchanceté des hommes blancs, il se révÚle un combattant
Au bord du fleuve 1/ La louve avait prĂ©venu ses compagnons de lâarrivĂ©e des hommes. Elle avait entendu la premiĂšre le son des voix humaines et les aboiements des chiens. La meute de loups sâĂ©tait enfuie. Le chef, un grand loup gris, courait en tĂȘte. Il grondait et montrait les crocs chaque fois quâun jeune loup essayait de le dĂ©passer. Seule la louve pouvait courir Ă ses cĂŽtĂ©s, mais chaque fois que le grand loup sâapprochait trop dâelle, elle le mordait Ă lâĂ©paule. A la gauche de la louve, il y avait un vieux loup couvert de cicatrices qui nâavait plus quâun Ćil. Un autre jeune loup de trois ans, fort et souple, essayait de sâapprocher de la louve malgrĂ© les coups de crocs et les grondements du chef et du vieux loup. Ce jour lĂ , ils parcoururent un grand nombre de kilomĂštres. A lâarriĂšre, les plus faibles suivaient pĂ©niblement. Les plus forts marchaient devant. On aurait dit une armĂ©e de squelettes qui avançait comme des mĂ©caniques. Ils continuĂšrent leur course toute la nuit et le jour suivant. Ils avaient faim. A travers ce dĂ©sert blanc et froid, ils avançaient, cherchant dâautres proies. Enfin, dans une plaine au bord de la riviĂšre glacĂ©e, ils rencontrĂšrent un troupeau dâĂ©lans. Ils se battirent avec un gros mĂąle. Le grand Ă©lan, surpris, fut attaquĂ© de tous cĂŽtĂ©s. Il se roula dans la neige, distribua des coups de corne et de sabots. Mais il sâeffondra, un loup dĂ©chirant sa gorge. Le sang coula et il fut dĂ©vorĂ©. CâĂ©tait une chance pour les loups affamĂ©s car cet Ă©lan Ă©tait Ă©norme et il y eut assez de nourriture pour les quarante estomacs. Ils purent enfin se reposer. Les jeunes mĂąles recommencĂšrent Ă jouer et Ă se battre. Au bout de quelques jours, la meute se sĂ©para en deux groupes qui partirent chacun dans une direction. 2/ Le troupeau conduit par le grand chef, la louve et le vieux loup borgne â Un Ćil â se dirigea vers lâEst, vers le fleuve Mackenzie et la rĂ©gion des lacs. Chaque jour, mĂąles et femelles disparaissaient deux par deux. La louve et Un Ćil coururent deux jours entiers autour dâun camp indien. La louve Ă©tait attirĂ©e par les hommes. Mais un coup de fusil claqua et ils sâenfuirent sur les berges du Mackenzie. La louve grossissait. Elle courait moins vite et moins longtemps et elle cherchait de plus en plus Ă sâisoler. Elle cherchait une cachette. A quelques centaines de mĂštres de la riviĂšre, elle dĂ©couvrit enfin un endroit en haut de la falaise dans un creux bien sec. Elle entra dans cette petite grotte, renifla dans tous les coins puis se laissa tomber. Un Ćil la regardait mais restait Ă lâentrĂ©e. Quand il eut faim, il fit signe Ă la louve de venir chasser avec lui. CâĂ©tait le printemps, la neige commençait Ă fondre et il savait quâil trouverait facilement une proie. Mais la louve ne voulut pas se lever alors il sâallongea et sâendormit. La faim le rĂ©veilla. Un Ćil rampa vers la louve et essaya de la dĂ©cider Ă sortir. Elle montra les crocs. Alors il partit seul pour chasser. Il couru toute la journĂ©e dans la neige molle et sur la glace. Il vit des liĂšvres mais ne put pas les attraper. Quand il revint Ă lâentrĂ©e de la caverne, il entendit des sons faibles. Il essaya de sâapprocher de la louve qui grondait et il entendit des petits cris. Il se roula en boule pour dormir et le lendemain, il aperçut cinq petits louveteaux vivants entres les pattes de la louve. Il renifla vers sa nouvelle famille. La mĂšre, inquiĂšte, le surveillait et grognait elle savait que certains pĂšres loups se jettent sur leurs petits pour les dĂ©vorer. Elle interdisait Ă Un Ćil dâapprocher. Alors Un Ćil repartit pour chercher de la nourriture. pour tout savoir sur le loup en France 3/ AprĂšs avoir parcouru plusieurs kilomĂštres, le loup trouva enfin des traces dâoiseau. Mais ces traces Ă©taient larges et il comprit que câĂ©tait un gros oiseau et que la bagarre serait difficile. En avançant doucement dans les hautes herbes au bord du fleuve, il se trouva soudain nez Ă nez avec un hĂ©ron. Lâoiseau essaya de sâenvoler mais le loup le renversa par terre dâun coup de patte, se jeta sur lui et le saisit entre ses dents. Le hĂ©ron se dĂ©battit un court moment et le loup commença Ă le manger. Puis il se souvint tout Ă coup de sa famille et reprit le chemin de la grotte en traĂźnant sa proie. Il trottait joyeusement quand il aperçut un beau lynx au milieu du chemin. Le loup Un Oeil sâaplatit sur le sol et avança en rampant. Il dĂ©posa lâoiseau et regarda. Le lynx voulait attaquer un porc-Ă©pic. Lâanimal Ă©tait enroulĂ© dans son Ă©paisse armure dâĂ©pines. Le lynx attendit, complĂštement immobile, pendant plus dâune heure. Soudain, le porc-Ă©pic pensa que son ennemi Ă©tait parti et il commença Ă se dĂ©rouler. Alors le lynx frappa, rapide comme la foudre. Ses griffes dĂ©chirĂšrent le ventre du porc-Ă©pic mais celui-ci rĂ©ussit Ă lui planter des Ă©pines dans sa patte. Le lynx recula en hurlant de douleur mais attaqua de nouveau. Des Ă©pines se plantĂšrent dans son nez. Alors il sâenfuit en traĂźnant son museau ensanglantĂ© dans la neige. Un Ćil se dĂ©cida Ă avancer vers le porc-Ă©pic qui sâĂ©tait enroulĂ©. Le pauvre animal Ă©tait blessĂ© et le loup savait quâil Ă©tait dangereux ; alors il le laissa tranquille. Il repartit avec lâoiseau et arriva Ă la grotte. Il donna sa proie Ă la louve qui comprit quâUn Ćil Ă©tait un bon pĂšre et le laissa entrer. fin du chapitre 2 TĂ©lĂ©charger â PDF croc-blanc-ch-2 â PDF Opendyslexic croc-blanc-ch-2-opdys â PDF lignes colorĂ©es croc-blanc-ch-2-lc CROC BLANC adaptĂ© facile Ă lire LE LIVRE >>>>>RetourĂ la rubrique feuilletons chapitre 20 croc blanc (le maitre d amour) (RĂ©sumĂ© ou premiĂšres lignes de l'oeuvre) L'apprentissage de la vie par un louveteau Retour Ă la rubrique feuilletons Retour au menu Retour au menuPubliĂ© le 28 mars 2013 Attention, ces deux versions du cĂ©lĂšbre roman de Jack London "Croc Blanc" ne sont pas exactement similaires, la seconde, plus rĂ©cente, Ă©tant plus simple. Nous vous proposons une lecture suivie de ce livre et vous proposons deux questions de comprĂ©hension pour chaque chapitre. 1° Au dĂ©but de l'histoire, combien y a-t-il de chien? 2° Pourquoi ne reste-t-il que cinq chiens ? Qu'a-t-il bien pu arriver? RĂ©ponse donnĂ©e par nos Ă©lĂšves demain matin, proposez-nous vos rĂ©ponses dans vos commentaires.
RĂ©sumĂ©par chapitres. Elle se rĂ©fugie chez sa sĆur Agathe, mariĂ©e et mĂšre d'une petite Lili. No et moi prĂ©sente lâhistoire de Lou Bertignac, une jeune fille de treize ans ayant sautĂ© deux classes. A sa grande surprise, il parle toujours comme un petit garçon. Il y a parfois des journĂ©es plus supportables.LES LOUPS 1/ Dans le Grand Nord du Canada, le dĂ©sert froid est immense, la plaine blanche sâĂ©tend jusquâĂ lâhorizon et les forĂȘts de sapins sont noires et tristes. Au milieu dâun fleuve glacĂ©, sâavançait un attelage de chiens-loups. Leur fourrure Ă©tait recouverte de neige. Ils tiraient un traineau qui glissait dans la neige molle. Sur le traineau, un cercueil en bois, des couvertures et des outils. Un homme Ă lâavant, chaussĂ© de raquettes, et un autre homme Ă lâarriĂšre, avançaient de toutes leurs forces, le visage couvert de givre. Dans le cercueil, ils transportaient leur camarade mort dans le Grand Nord glacĂ©, le froid lâavait tuĂ©. Une heure passa, la nuit tombait. Soudain, dans le silence, ils entendirent un cri lointain, puis un second, plus proche. Les loups, dit Bill lâhomme Ă lâarriĂšre, on dirait quâils nous cherchent ! â Câest quâil nây a pas grand-chose Ă manger, par ici ! » La nuit tombĂ©e, les deux hommes installĂšrent leur campement prĂšs du fleuve. Le cercueil leur servit de siĂšges et de table. Bill prit six poissons pour les distribuer aux chiens. Quand il eut fini, un des chiens nâavait pas eu son repas ! Mais, Henry, combien avons-nous de chiens ? â Tu sais bien que nous en avons six ! â Comment se fait-il quâil manquait un poisson ? â Tu as dĂ» mal compter⊠â Non non, je crois quâun autre animal est venu manger un poisson, et il est reparti. » Les deux hommes entendirent encore un long cri dans la nuit. Tu crois que câĂ©tait un loup ? â Certainement. » Soudain, toute la meute de loups se mit Ă hurler, et les chiens aboyĂšrent. Ils avaient peur et se rapprochĂšrent du feu. Bill y ajouta du bois et alluma sa pipe. Tu vois, dit-il Ă Henry en montrant le cercueil, je me demande ce que cet homme Ă©tait venu faire dans ce pays, mais au moins, il nâa plus peur de rien ! » Henry lui fit signe de se taire, il venait dâapercevoir des yeux briller dans le noir tout prĂšs. Les loups les entouraient. Les chiens, terrorisĂ©s, vinrent se serrer contre eux. Lâun dâeux sâapprocha tant du feu quâil se brĂ»la et hurla, ce qui fit disparaĂźtre un moment les paires dâyeux autour dâeux. Combien nous reste-t-il de balles ? demanda Henry. â Trois seulement. -Sales bĂȘtes. Et ce froid ! Ah que jâaimerais ĂȘtre au chaud chez moi ! » Les hommes se couchĂšrent dans leurs couvertures. Ils firent du feu toute la nuit pour que les loups ne sâapprochent pas. En sâendormant, Bill pensa Je me demande pourquoi les chiens nâont pas aboyĂ© quand un loup est venu manger un poisson⊠» 2/ Le lendemain matin, Ă 6 heures, il faisait encore nuit noire. Le soleil se lĂšve tard en hiver dans le Grand Nord. Bill prĂ©parait du cafĂ©, soudain il cria HĂ© ! Il nây a plus que 5 chiens ! â Il a du se faire dĂ©vorer ! â Mais nous nâavons rien entendu ! â Oui, câest bizarre âŠ. » Le dĂ©jeuner terminĂ©, les deux hommes chargĂšrent le traĂźneau et repartirent dans la forĂȘt. Ils avancĂšrent et les loups les suivirent toute la journĂ©e. Le soir, ils campĂšrent Ă nouveau. Pendant que Henry donnait Ă manger aux chiens, un loup bondit et attrapa un poisson dans sa main. » Ah ! la sale bĂȘte ! â comment Ă©tait-il ? â Je nâai pas eu le temps de bien le voir, câest un loup qui ressemble Ă un chien. » Pendant quâils mangeaient, ils aperçurent encore des yeux autour dâeux. » Allez â vous en ! cria Bill avant de sâendormir prĂšs du feu. Le lendemain, un chien avait encore disparu. Ce nâest pas possible ! â Les chiens se font dĂ©vorer sans nous rĂ©veiller, câest incroyable ! â Pauvre chien, câĂ©tait un bon chien⊠» Les hommes avancĂšrent encore toute la journĂ©e, toujours suivis par les loups. Il manquait deux chiens pour tirer le traĂźneau. Ils avaient peur et froid. Le soir Bill attacha les chiens serrĂ©s les uns aux autres et Ă un tronc dâarbre tout prĂšs dâeux. Regarde Henry, comme ça ils ne pourront pas bouger, nous serons tranquilles. » La nuit, autour du feu, les paires dâyeux Ă©taient lĂ . Ah si nous avions des balles pour leur tirer dessus ! » 3/ Soudain, ils virent un animal ressemblant Ă un chien sâapprocher des quatre chiens attachĂ©s. Regarde, dit Bill, câest une louve. Elle attire les chiens un Ă un loin de nous et toute la meute leur saute dessus pour les dĂ©vorer ! » Henry frappa dans ses mains et la louve disparut dans la nuit. Cette louve est trĂšs maligne. Elle a lâair de connaĂźtre lâheure de repas des chiens. Je crois quâelle a Ă©tĂ© apprivoisĂ©e. â Elle est Ă moitiĂ© chienne. â Elle est trĂšs dangereuse. Avec un peu de chance, on pourra la tuer avec nos trois cartouches. » Le lendemain matin, un autre chien avait disparu. Il nâen restait plus que trois. Les hommes Ă©taient furieux. La nuit prochaine, je tuerai cette louve, murmura Bill. » Les deux hommes reprirent leur marche. Ils trouvĂšrent les os du chien disparu peu aprĂšs. Ces loups doivent ĂȘtre affamĂ©s, ils vont finir par nous dĂ©vorer aussi ! â Ah ! Si je sors vivant de ce cauchemar, je ne reviendrai jamais dans ce pays de malheur ! » Au milieu de la journĂ©e, Bill prend le fusil et dit Jâen ai assez de ces bĂȘtes qui nous suivent ! Reste lĂ , je vais aller voir. â Sois prudent Bill, rĂ©pondit Henry. » Bill partit le fusil sur lâĂ©paule et revint une heure plus tard. Je les ai vus, dit-il, ils sont trĂšs maigres, ils doivent avoir tellement faim ! Ils vont nous suivre pour nous manger. Sinon, câest eux qui mourront de faim ! » Les hommes se remirent Ă avancer. Quelques minutes plus tard, ils aperçurent une forme sombre ramper dans la neige. Câest la louve, cria Bill !» Elle sâapprochait tout doucement en regardant les hommes. Elle doit faire 75 centimĂštres de haut et un mĂštre cinquante de long. â On dirait un Ă©norme chien de traĂźneau. â HĂ© ! Gros chien ! Viens ici ! Bill appela. â On dirait quâelle nâa pas peur. â Vas-y, il faut la tuer ! » Bill prit le fusil pour le mettre Ă son Ă©paule mais lâanimal disparu aussitĂŽt. Bien sĂ»r, cette louve ou cette chienne est assez intelligente pour reconnaĂźtre un fusil ! » La nuit venue, les deux voyageurs sâarrĂȘtĂšrent. Les trois chiens sâallongĂšrent Ă©puisĂ©s dans la neige. Les deux hommes ne purent pas dormir il fallait se relever sans cesse pour remettre du bois dans le feu et Ă©loigner les loups. Les marins racontent que les requins suivent les navires, dit Bill. Les loups sont comme des requins. Ils finiront par nous avoir. » 4/ Heureusement, aucun chien ne disparut dans la nuit. Mais pendant la matinĂ©e, le traĂźneau se renversa et il fallut dĂ©tacher les chiens. Lâun dâeux se sauva Ă toute vitesse et courut vers la louve qui attendait. A chaque fois que le chien sâapprochait dâelle, elle reculait de quelques pas, comme pour lâentraĂźner loin des hommes. A un moment il regarda les hommes derriĂšre lui. Bill essayait dâattraper le fusil coincĂ© sous le traĂźneau renversĂ©. Le chien comprit quâil Ă©tait tombĂ© dans un piĂšge et essaya de sâenfuir mais une douzaine de loups bondit aprĂšs lui. Bill saisit enfin le fusil et courut aprĂšs les loups. Peu aprĂšs , Henry entendit un coup de feu, puis deux autres. Il comprit que Bill nâavait plus de cartouches. Il y eut un grand bruit, des grondements et des cris. Henry entendit Bill hurler. Puis le silence retomba sur le paysage glacĂ©. Henry resta longtemps assis sur le traĂźneau. Il savait bien ce qui Ă©tait arrivĂ©. Il finit par se lever et tira lui-mĂȘme le traĂźneau avec les deux derniers chiens. DĂšs que la nuit commença Ă tomber, il sâarrĂȘta pour camper et mangea. Il ne put pas dormir. Les loups Ă©taient tout prĂšs. Il fit un grand feu toute la nuit car câĂ©tait la seule façon de ne pas se faire dĂ©vorer. Le lendemain, Henry repartit sans le cercueil qui Ă©tait trop lourd. Il put avancer assez vite avec ses deux chiens. Les loups suivaient, maigres, la langue rouge et pendante. Le soir, Henry coupa une grande quantitĂ© de bois. Il avait trĂšs sommeil mais il ne pourrait pas dormir. Si jamais il sâendormait, ce serait la fin pour lui. 5/ Dans la nuit, Henry vit la louve Ă quelques mĂštres qui le regardait. Sa gueule sâouvrait avec gourmandise, ses crocs blancs brillaient et la salive lui coulait des lĂšvres. Henry, terrorisĂ©, lui jeta une branche enflammĂ©e et la louve sâenfuit. Le lendemain matin, un loup plus courageux que les autres se jeta sur lui. Il le repoussa avec du bois enflammĂ© et resta toute la matinĂ©e prĂšs du feu. Il sâendormit un tout petit peu et rĂȘva de sa maison. Mais soudain, il sentit des crocs lui dĂ©chirer le bras. Il se rĂ©veilla et sauta au milieu du feu. A pleines mains, il attrapait les branches brĂ»lantes et les lançait. Ses gants le protĂ©geaient. On aurait dit un volcan. Henry avait le visage brĂ»lĂ©, les cils et les sourcils grillĂ©s. Les loups reculĂšrent. Vous ne mâaurez pas, sales bĂȘtes ! criait-il.» Il resta derriĂšre le feu pendant plusieurs heures, il Ă©tait Ă©puisĂ©. Les loups avaient mangĂ© ses deux chiens. Quand il nâeut plus de bois, il sâallongea, regarda la louve et lui cria Tu peux me dĂ©vorer maintenant ! Ah, vous mâavez eu ! » Il ferma les yeux, il entendit un bruit de traineau ! il sâĂ©vanouit. Quand il se rĂ©veilla, il sentit que les loups Ă©taient partis. Des hommes lâentouraient. Ils le questionnĂšrent dĂšs quâil le virent ouvrir les yeux. Henry murmura La grande louve ⊠elle a dĂ©vorĂ© Bill⊠le poisson⊠les chiens⊠» Et il sâendormit aussitĂŽt pour de longues heures. Fin du chapitre I. CROC BLANC adaptĂ© facile Ă lire LE LIVRE >>>>>
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