Toujourspour 2013, la prĂ©sidence de la RĂ©publique a utilisĂ© l'Airbus prĂ©sidentiel 243 heures, les Falcon 323 heures, et les Super Puma 3 heures. MalgrĂ© les sarcasmes de la gauche lorsque Le prĂ©sident de la RĂ©publique Amadou Toumani TourĂ© a enfin rĂ©alisĂ© le rĂȘve des populations de la 6Ăšme RĂ©gion, il s’agit de la route du Sahel Tombouctou- Gouma-Coura en 4Ăšme RĂ©gion. Cette route longue de 484 Km sera entiĂšrement bitumĂ©e et est financĂ©e par l’Union EuropĂ©enne Ă  travers le 10Ăšme FED Ă  hauteur de 80 Milliards de F Cfa. Le Mardi 23 Novembre 2010 est une date qui restera longtemps gravĂ©e dans la mĂ©moire des Tombouctiens de Goundam en passant par DirĂ©, Tonka, NiafunkĂ© et LĂ©rĂ©. Le chef de l’Etat Amadou Toumani TourĂ© ATT en procĂ©dant au lancement officiel des travaux du bitumage de la route Tombouctou-Gouma-Coura est un rĂȘve qui vient de se rĂ©aliser, c’est pourquoi une trĂšs grande mobilisation a Ă©tĂ© faite Ă  l’occasion. L’espace dĂ©signĂ© pour la cĂ©rĂ©monie a engorgĂ© du Monde pour magnifier au prĂ©sident de la RĂ©publique, au Premier Ministre, aux membres du Gouvernement et aux Ambassadeurs de l’Union EuropĂ©enne toute leur joie et espoir pour le dĂ©marrage des travaux de cette route aprĂšs 50Ans d’attente. C’est ainsi que le Maire de la Commune Urbaine de Tombouctou Mr HallĂ© Ousmane dans son discours a dit que la construction de la route du Sahel est le plus beau cadeau du Cinquantenaire que le prĂ©sident vient d’offrir Ă  sa ville d’enfance et aux communautĂ©s de la 6Ăšme RĂ©gion. Le Maire a ensuite remerciĂ© l’Union EuropĂ©enne, les entreprises chargĂ©es de l’exĂ©cution des travaux et les forces de sĂ©curitĂ© qui sans eux ce rĂȘve ne sera pas une rĂ©alitĂ©. Dans la mĂȘme perspective le reprĂ©sentant du collectif des DĂ©putĂ©s de la RĂ©gion Honorable El hadji Baba HaĂŻdara dit Sandy a exposĂ© toute l’importance Ă©conomique de la route pour les populations. Cette route est inscrite dans le programme de dĂ©veloppement Ă©conomique et social du prĂ©sident de la RĂ©publique qui l’a d’ailleurs rappelĂ© dans son discours, qu’il vient enfin de concrĂ©tiser un rĂȘve dont il ne savait pas comment il a abouti mais aujourd’hui grĂące au partenaire privilĂ©giĂ© l’Union EuropĂ©enne ce rĂȘve est plus qu’une rĂ©alitĂ©. Le prĂ©sident ATT a profitĂ© Ă©galement de cette tribune pour clarifier certains points sur les menaces d’AQMI dans le dĂ©sert Malien. Pour ATT rien ne prouve que les Otages enlevĂ©s au Niger soient dans le dĂ©sert Malien et que le Mali n’a rien avoir avec ce problĂšme mais que son pays fasse tout pour libĂ©rer les dits Otages. Il a ensuite sollicitĂ© la coopĂ©ration sous RĂ©gionale pour venir a bout du terrorisme dans la bande sahĂ©lo-Saharienne. Cependant, le PrĂ©sident ATT a Ă©tĂ© suivi Ă  l’aĂ©roport de Tombouctou par une dĂ©monstration des parachutages et de combats. Une dĂ©monstration qui rentre dans le cadre de la coopĂ©ration militaire entre la Lybie et le Mali. Cette coopĂ©ration vise Ă  former les soldats Maliens Ă  intervenir dans un temps record dans les RĂ©gions Nord du Mali par des techniques trĂšs efficaces. Avant de regagner Bamako, le PrĂ©sident a rendu une visite de courtoisie aux notables de Tombouctou au domicile du grand Imam de DjingareĂŻber, des priĂšres et des bĂ©nĂ©dictions ont Ă©tĂ© formulĂ©es pour le Pays pour que la paix et la sĂ©curitĂ© rĂšgnent dans le Pays. Modibo keita Commentaires via Facebook
\n \n rever du president de la republique

Ainsi une victoire de Marion MarĂ©chal Le Pen (FN) serait envisagĂ©e. Mais le vrai favori de Zemmour, Buisson et de Villiers, c’est Laurent Wauquiez. Pour aider indirectement le prĂ©sident de

En Corse, les assassinats mafieux font redouter une inversion des valeurs. Cela se double d’un effet miroir encourage par certains mĂ©dias dominants parisiens, et une sĂ©rie de Canal+ . Les voyous font rĂȘver Mafiosa. Nous, ils nous font souffrir ! », rĂ©agit Jean-François Bernardini, le leader du groupe I Muvrini qui prĂ©side Ă  Bastia AFC- Umani, l’Association pour la Fondation de Corse, investie dans le puissant antidote qu’est la nonviolence NV. © La comĂ©dienne HĂ©lĂšne FilliĂšre, qui interprĂšte Sandra Paoli dans la sĂ©rie Mafiosa localisĂ©e en Corse - CanalPlus 5e saison dĂ©clare en Une du magazine Corsica n° 167- Ă©tĂ© 2013 Moi, les voyous me font rĂȘver
 ». C'est le monde Ă  l'envers et l'inversion des valeurs. MĂȘlant fiction et rĂ©alitĂ© sans subtilitĂ© ni envergure, elle aligne les clichĂ©s du rapport Ă  la famille, des liens du sang, de la parole donnĂ©e ». Des comportements censĂ©s gouverner le milieu des criminels de Mafiosa. Elle prĂ©cise Eux les voyous, ils vont Ă  la dure, sont capables de tuer leur propre frĂšre, leur meilleur ami, de passer d’un clan Ă  l’autre. » Pourquoi rĂȘver ainsi de voyous dont les synonymes sont d’aprĂšs le dictionnaire Ă©corcheur, Ă©cumeur, carambouilleur, coupe-jarret, crapule, escroc, fripouille, gouape, gredin, incendiaire, malfaiteur, margoulin, nervi, requin, scĂ©lĂ©rat, souteneur, terreur, truand et vaurien » ? © Cet interview publiĂ©, pourtant et hĂ©las, dans un magazine insulaire recĂšle un condensĂ© de l’ensemble des prĂ©jugĂ©s sur la Corse, lesquels prolifĂšrent Ă  longueur d’annĂ©es. La rĂ©alitĂ© insulaire est toute autre. Plus nuancĂ©e, plus complexe, plus paradoxale. Faire rĂȘver L’histoire de la Corse dont le territoire et le biotope sont fragiles et exceptionnels rĂ©vĂšle une longue liste de vĂ©ritables hĂ©ros de la libertĂ© qui, eux, mĂ©ritent de nous faire rĂȘver. Parmi lesquels le grand rĂ©sistant Jean Nicoli et Pasquale Paoli qui fit de la Corse un modĂšle politique pour l’Europe au SiĂšcle des lumiĂšres. En effet, outre l’effet de miroir liĂ© Ă  la criminalitĂ© que pointe l’historien Antoine-Marie Graziani, d’autres forces sont en jeu en Corse. Notamment l’engagement de Jean-François Bernardini, qui organise dans l’üle de nombreuses actions et formations dĂ©diĂ©es au cursus intellectuel et moral d’une nonviolence nv active et consciente. Dont une confĂ©rence internationale en juin 2013 Ă  Bastia, conjointement avec Henri Malosse, prĂ©sident du Conseil Economique et Social EuropĂ©en CESE. © Justice privĂ©e. © Dans son essai La violence dans les campagnes corses du XVIe au XVIIIe siĂšcles Ed. A. Piazzola, 2013, l’historien Antoine-Marie Graziani note Longtemps la question de la violence a Ă©tĂ© traitĂ©e de façon rĂ©ductrice, en la renvoyant au seul phĂ©nomĂšne du banditisme. La lecture romantique de la vendetta Ă  aboutit Ă  la construction d’un banditisme d’honneur » pour touristes et cartes postales, avant de l’ĂȘtre pour les Corses eux-mĂȘmes par un jeu de miroir. La rĂ©alitĂ© est toute autre, surtout si on interroge des pĂ©riodes plus anciennes. » Docteur des UniversitĂ©s de Paris I et de Corse, il a proposĂ© de nouvelles perspectives lors de son intervention Ă  la confĂ©rence Scritti Isulani Ă  Penta-di-Casinca, les 13 et 14 aoĂ»t 2013. Notamment sur les tragiques impacts sociaux dans l’üle, de la terrible justice privĂ©e telle qu’elle fut imaginĂ©e par le RĂ©publique de GĂšnes du XVIe aux XVIIIe siĂšcles. Une recherche qui interpelle la violence contemporaine, politique ou de droit commun ». © Il faut rappeler aussi que, en Corse, la multiplication des des activitĂ©s mafieuses se dĂ©roule dans un contexte d’impunitĂ© due, selon les observateurs, aux nombreuses dĂ©faillances du ministĂšre de l’IntĂ©rieur et du ministĂšre de la Justice dans l’üle. En cause, dit-on, les manques d’effectifs dans les services de la police et les tribunaux. © Les Indiens dans les westerns. Sur l’effet miroir, Jean-François Bernardini s’est montrĂ© percutant aussi lors de sa confĂ©rence Ă  Ile-Rousse U Spazziu-20 aoĂ»t 2013. Les Corses sont diabolisĂ©s dans certains mĂ©dias, comme les Indiens dans les westerns toujours montrĂ©s comme sauvages. De la mĂȘme façon, des idĂ©es fausses sur la Corse s’impriment dans les consciences et crĂ©ent , aussi chez les Corses, une auto-image d’eux-mĂȘmes. Comme un effet miroir qui lance une injonction Deviens comme je te dĂ©finis ! Non, les voyous ne me font pas rĂȘver. Nous, ils nous font souffrir ! » © Librement inspirĂ© de l’action politique nonviolente de Gandhi en Inde et de Martin Luther King aux Etats-Unis, les Ă©quipes de Jean-François Bernardini oeuvrent dans toute la Corse pour la diffusion des principes et mĂ©thodes de la nv. Il s’agit d’un vaste dispositif multiforme composĂ© de techniques codifiĂ©es et Ă©prouvĂ©es que l’on dĂ©couvre en Corse, via des stages, des journĂ©es de sensibilisation et des parcours-expos organisĂ©s dans les entreprises et les Ă©tablissements scolaires. Un succĂšs qui pourrait agir comme un antidote social. DĂ©sormais 2 500 adultes et Ă©lĂšves sont impliquĂ©s dans l’üle dans la rĂ©solution des conflits » et la rĂ©gulation des dĂ©saccords par le dialogue » Soit 1% de la population et, pour AFC-Umani, un budget NV de 100 000 euros de 2011 Ă  2013. Sont prĂ©vues prochainement Ă  Bastia diverses opĂ©rations d’excellence, de type formations de formateurs Ă  la nv ». Une riposte dĂ©stabilisante. La NV est un dispositif qui s’adapte Ă  tous les types de conflits naissants dans la famille, l’école, l’entreprise. Elle fonctionne, dĂšs la premiĂšre parole, comme une riposte dĂ©stabilisante pour les nĂ©ophytes ou ceux qui doutent. Elle n’est pas assimilable Ă  l’indiffĂ©rence ou Ă  la lĂąchetĂ©. Et dans l’univers de la politique, cela ne consiste pas Ă  dĂ©signer une cible » comme l’a si bien fait remarquer Nathalie Kosciusko-Morizet Ă  propos du Front national. La nonviolence, qui n’est pas un pacifisme bĂ©at, ne fait pas non plus le jeu du systĂšme, de l’exclusion, de la stigmatisation, de la criminalitĂ© celle des voyous chers Ă  HelĂšne FilliĂšre qui dĂ©truit le tissu social et les solidaritĂ©s. Quand on se proclame nonviolent, il ne s’agit pas de fermer les yeux mais de faire face. C’est, ajoute Jean-François Bernardini, un combat citoyen qui dĂ©clenche, lors des concerts de I Muvrini, des ovations debout en Allemagne, avec des gens qui en ont les larmes aux yeux». © En Corse perdurent aussi I Paceri-les faiseurs de paix » et ce vieux dicton Mieux vaut mourir que tuer ». Sans doute une rĂ©action de rĂ©silience sociale aprĂšs les exactions commises par la RĂ©publique de GĂšnes et sa justice privĂ©e. La nv est une chance historique pour la Corse. La seule voie pour l’üle de dire sa vĂ©ritĂ©. Un dĂ©fi Ă  la face du monde et pas seulement pour la Corse. Notre Ăźle a-t-elle la volontĂ© de se prendre en mains ? Basta cusi ! Il ne faut pas croire aux miracles. Nous devons ĂȘtre Ă  la hauteur de ce qui nous arrive en terme de corruption, de compromission et de loi du silence. Et on veut des outils pour cela », rĂ©sume le leader de I Muvrini. Pour des raisons Ă©videntes, la nonviolence sera un acte social prioritaire de survie pour l’ensemble des habitants d’une planĂšte, dont les ressources et l’espace vital diminuent. Quant aux criminels qui exĂ©cutent d’autres ĂȘtres humains en Corse et ailleurs dans la vraie vie et pas sur les Ă©crans de Canal Plus, HĂ©lĂšne FilliĂšre devrait poser enfin les bonnes questions. Les voyous » dont elles rĂȘvent sont-ils admirables ou dĂ©gouttants de sang ? Une certaine presse magazine les hisse en couverture, mais ces voyous aident-ils les jeunes Corses Ă  grandir et Ă  devenir des adultes responsables de leurs actes et du devenir de l’üle ? La Corse est-elle victime d’un matraquage mĂ©diatique et d’une contamination via la pensĂ©e unique du racisme anti-corse ? S’agit-il des sĂ©quelles du colonialisme ? Pour Jean-François Bernardini Les voyous Ă©voquĂ©s par Corsica, c’est cela aussi, hĂ©las, le prisme colonial ! Ici mĂȘme la presse en Corse a du mal Ă  imaginer que quelque chose de bien , de salutaire puisse venir de chez nous. Qu’il puisse y avoir ici ,en Corse, des cellules en bonne santĂ© ! Alors je le redis chacun doit faire le travail de transformation intĂ©rieure vers la nonviolence
 » Liliane Vittori

Ceciétant posé, il faut bien revenir sur les annonces du président de la République et commencer là aussi par lever un malentendu important volontairement entretenu par Emmanuel Macron : la vaccination sera bien obligatoire pour l'ensemble des Français, et pas seulement pour les soignants comme cela est indûment annoncé. Comment appeler ça autrement quand pour

AccueilNews SociĂ©tĂ© Des populations saluent les actions de dĂ©veloppement du prĂ©sident de la RĂ©publique SociĂ©tĂ© PubliĂ© le dimanche 29 aoĂ»t 2021 AIP Dimbokro– Par la voix du prĂ©sident de la mutuelle de dĂ©veloppement Ă©conomique et social de Djangokro MUESDJAN, Koffi Mathieu, les populations de cette localitĂ© ont saluĂ©, samedi 28 aoĂ»t 2021, le prĂ©sident de la RĂ©publique pour ses actions de dĂ©veloppement en faveur du N'zi et singuliĂšrement de leur sous-prĂ©fecture, lors d'une cĂ©rĂ©monie de fĂȘte de mĂšres dĂ©calĂ©e et d'installation des comitĂ©s villageois de dĂ©veloppement CVD initiĂ©e dans la localitĂ© par le conseil Koffi a affirmĂ© que de nombreux projets de dĂ©veloppement rĂ©alisĂ©es dans la rĂ©gion et Ă  Djangokro impactent positivement la vie quotidienne des populations, Ă©numĂ©rant notamment le bitumage des voies Dimbokro-Bocanda et Bocanda-Kouassikouassikro, l'Ă©lectrification de nombreux villages, l'adduction en eau potable, la construction de centre de santĂ© et d'Ă©coles sans oublier le dĂ©marrage du bitumage des rues de la ville de prĂ©sident du conseil rĂ©gional, Koffi N’guessan Lataille, par ailleurs secrĂ©taire d’Etat en charge du Logement Social, a invitĂ© tous les cadres de la rĂ©gion Ă  l’union, socle du dĂ©veloppement. Il a exhortĂ© les populations Ă  soutenir le prĂ©sident Ouattara qui, par "sa vision, sa clairvoyance et son leadership apporte chaque jour, une amĂ©lioration aux conditions des parents".En moins d’une dĂ©cennie, le PrĂ©sident de la RĂ©publique, Alassane Ouattara, a transformĂ© la CĂŽte d’Ivoire qui Ă©tait en ruine, en un pays qui fait rĂȘver. Nous devons l’accompagner pour que notre rĂ©gion continue de faire ce pas de gĂ©ant qu’il attendait depuis des lustres et qui a commencĂ© dans tous les secteurs », a conclu, le prĂ©sident RĂ©agir Ă  cet article
RĂȘved’un pĂšre, d’un roi, du PrĂ©sident de la RĂ©publique, toutes ces images renvoient Ă  une lecture Ɠdipienne oĂč le pĂšre reprĂ©sente la rĂšgle, la discipline et l’interdit. Il est Premier mandat - 17 mai 1995 M. François Mitterrand accueille, le 17 mai, au palais de l'ÉlysĂ©e, M. Jacques Chirac. Ce dernier s'est prĂ©alablement recueilli sur la tombe du gĂ©nĂ©ral de Gaulle Ă  Colombey-les-Deux-Églises. AprĂšs un long entretien, il le raccompagne, avec une courtoisie remarquĂ©e, dans la cour d'honneur du Palais. Il est ensuite proclamĂ© officiellement dans ses fonctions par M. Roland Dumas, prĂ©sident du Conseil Constitutionnel. AprĂšs avoir Ă©tĂ© reconnu par le gĂ©nĂ©ral Forray, grand chancelier de l'ordre national de la LĂ©gion d'honneur, comme grand maĂźtre de l'ordre, le prĂ©sident prononce son discours d'investiture devant les corps constituĂ©s. Dans l'aprĂšs-midi, le PrĂ©sident Jacques Chirac se rend Ă  l'Arc de Triomphe. Retrouvez la cĂ©rĂ©monie en vidĂ©o sur le site de l'INA. 17 mai 1995 - Seul le prononcĂ© fait foi Allocution de Jacques Chirac lors de la cĂ©rĂ©monie d'investiture du 17 mai 1995 TĂ©lĂ©charger le .pdf Messieurs les PrĂ©sidents, Mesdames, Messieurs, En ce jour oĂč je prends la responsabilitĂ© d'assumer la plus haute charge de l'État, je me sens dĂ©positaire d'une espĂ©rance. L'Ă©lection prĂ©sidentielle n'a pas vu la victoire d'une France contre une autre, d'une idĂ©ologie contre une autre. Elle a vu la victoire d'une France qui veut se donner les moyens d'entrer forte et unie dans le troisiĂšme millĂ©naire. Le 7 mai, le peuple français a exprimĂ© sa volontĂ© de changement. Je suis dĂ©cidĂ© Ă  placer le septennat qui commence sous le signe de la dignitĂ©, de la simplicitĂ©, de la fidĂ©litĂ© aux valeurs essentielles de notre RĂ©publique. Je n'aurai d'autre ambition que de rendre les Français plus unis, plus Ă©gaux, et la France plus allante, forte de son histoire comme de ses atouts. Je ferai tout pour qu'un Etat impartial, assumant pleinement ses missions de souverainetĂ© et de solidaritĂ©, soit pour les citoyens le garant de leurs droits et le protecteur de leurs libertĂ©s. Je ferai tout pour que notre dĂ©mocratie soit affermie et mieux Ă©quilibrĂ©e, par un juste partage des compĂ©tences entre l'exĂ©cutif et le lĂ©gislatif, ainsi que l'avait voulu le GĂ©nĂ©ral de Gaulle, fondateur de la Ve RĂ©publique. Le PrĂ©sident arbitrera, fixera les grandes orientations, assurera l'unitĂ© de la Nation, prĂ©servera son indĂ©pendance. Le Gouvernement conduira la politique de la Nation. Le Parlement fera la loi et contrĂŽlera l'action gouvernementale. Telles sont les voies Ă  suivre. Je veillerai Ă  ce qu'une justice indĂ©pendante soit dotĂ©e des moyens supplĂ©mentaires nĂ©cessaires Ă  l'accomplissement de sa tĂąche. Surtout, j'engagerai toutes mes forces pour restaurer la cohĂ©sion de la France et renouer le pacte rĂ©publicain entre les Français. L'emploi sera ma prĂ©occupation de tous les instants. La campagne qui s'achĂšve a permis Ă  notre pays de se dĂ©couvrir tel qu'il est, avec ses cicatrices, ses fractures, ses inĂ©galitĂ©s, ses exclus, mais aussi avec son ardeur, sa gĂ©nĂ©rositĂ©, son dĂ©sir de rĂȘver et de faire du rĂȘve une rĂ©alitĂ©. La France est un vieux pays, mais elle est aussi une Nation jeune, enthousiaste, prĂȘte Ă  libĂ©rer le meilleur d'elle-mĂȘme pour peu qu'on lui montre l'horizon, et non l'Ă©troitesse de murs clos. Le PrĂ©sident François Mitterrand a marquĂ© de son empreinte les quatorze ans qui viennent de s'Ă©couler. Un nouveau septennat commence. Je voudrais qu'Ă  l'issue de mon mandat, les Français constatent que le changement espĂ©rĂ© a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©. Je voudrais que, plus assurĂ©s de leur avenir personnel, tous nos compatriotes se sentent partie prenante d'un destin collectif. Je voudrais que ces annĂ©es, lourdes d'enjeux, mais ouvertes Ă  tous les possibles, les voient devenir plus confiants, plus solidaires, plus patriotes, et en mĂȘme temps plus europĂ©ens, car la force intĂ©rieure est toujours la source d'un Ă©lan vers l'extĂ©rieur. Avec l'aide des hommes et des femmes de bonne volontĂ©, conformĂ©ment Ă  l'esprit et Ă  la lettre de nos institutions, et aussi Ă  l'idĂ©e que je me fais de ma mission, je serai auprĂšs des Français, garant du bien public, en charge des intĂ©rĂȘts supĂ©rieurs de la France dans le monde et de l'universalitĂ© de son message. Vive la RĂ©publique. Vive la France ! 1/6CĂ©rĂ©monie d’investiture du PrĂ©sident de la RĂ©publique Jacques Chirac le 17 mai 1995 ©Archives nationales/PrĂ©sidence de la RĂ©publique 2/6CĂ©rĂ©monie d’investiture du PrĂ©sident de la RĂ©publique Jacques Chirac le 17 mai 1995 ©Archives nationales/PrĂ©sidence de la RĂ©publique 3/6CĂ©rĂ©monie d’investiture du PrĂ©sident de la RĂ©publique Jacques Chirac le 17 mai 1995 ©Archives nationales/PrĂ©sidence de la RĂ©publique 4/6CĂ©rĂ©monie d’investiture du PrĂ©sident de la RĂ©publique Jacques Chirac le 17 mai 1995 ©Archives nationales/PrĂ©sidence de la RĂ©publique 5/6CĂ©rĂ©monie d’investiture du PrĂ©sident de la RĂ©publique Jacques Chirac le 17 mai 1995 ©Archives nationales/PrĂ©sidence de la RĂ©publique 6/6CĂ©rĂ©monie d’investiture du PrĂ©sident de la RĂ©publique Jacques Chirac le 17 mai 1995 ©Archives nationales/PrĂ©sidence de la RĂ©publique Second mandat - 16 mai 2002 La cĂ©rĂ©monie d'investiture du PrĂ©sident de la RĂ©publique a eu lieu au Palais de l'ÉlysĂ©e jeudi 16 mai Ă  16h30. Suivant le protocole, le prĂ©sident du Conseil constitutionnel, M. Yves GuĂ©na, a proclamĂ© les rĂ©sultats dĂ©finitifs de l'Ă©lection prĂ©sidentielle des 21 avril et 5 mai 2002. Le Grand chancelier de l'Ordre de la LĂ©gion d'Honneur, le gĂ©nĂ©ral Jean-Philippe Douin, a prĂ©sentĂ©, sur un coussin, le grand collier de l'Ordre au prĂ©sident de la RĂ©publique. Le chef de l'État est Grand maĂźtre de l'Ordre national. À l'issue de cette prĂ©sentation, le PrĂ©sident a prononcĂ© une allocution, avant de recevoir les honneurs militaires, rendus par la compagnie d'honneur du 1er rĂ©giment d'infanterie de la Garde rĂ©publicaine, dans les jardins. Pendant ce temps, 21 coups de canon ont Ă©tĂ© tirĂ©s des Invalides. Ont Ă©tĂ© conviĂ©s Ă  cette cĂ©rĂ©monie le Premier ministre, les prĂ©sidents de l'AssemblĂ©e nationale et du SĂ©nat, les membres du gouvernement, le prĂ©sident et les membres du Conseil constitutionnel, le doyen du corps diplomatique, les prĂ©sidents ou reprĂ©sentants du Conseil d'Etat, du Conseil Ă©conomique et social, de la Cour de cassation, de la Cour des comptes, de l'Institut de France, et les autoritĂ©s religieuses et militaires. Le premier mandat du PrĂ©sident a pris fin le 16 mai 2002 Ă  minuit. Son second mandat, d'une durĂ©e de cinq ans, a dĂ©butĂ© le 17 mai, Ă  00h00. 16 mai 2002 - Seul le prononcĂ© fait foi Allocution de Jacques Chirac lors de la cĂ©rĂ©monie d'investiture du 16 mai 2002 TĂ©lĂ©charger le .pdf Monsieur le PrĂ©sident du Conseil Constitutionnel, Monsieur le Premier Ministre, Mesdames, Messieurs, Les Françaises et les Français m'ont renouvelĂ© leur confiance. Les devoirs que j'ai envers chacun d'eux seront constamment prĂ©sents Ă  mon esprit, aujourd'hui et pour les cinq annĂ©es du mandat qu'ils m'ont donnĂ©. Ce mandat, je l'aborde animĂ© par l'esprit de service, avec le souci de faire vivre la RĂ©publique, une RĂ©publique enracinĂ©e dans nos coeurs, une RĂ©publique attentive Ă  tous, ouverte, humaine, tolĂ©rante, qui rĂ©ponde aux attentes et aux besoins de chacun de nos compatriotes. Je mesure pleinement les exigences qui s'imposent Ă  l'exercice de la fonction prĂ©sidentielle, particuliĂšrement dans la pĂ©riode actuelle. En faisant Ă©chec Ă  la tentation de l'extrĂ©misme, les Français viennent de rĂ©affirmer avec force l'attachement qu'ils portent Ă  leurs institutions dĂ©mocratiques, aux libertĂ©s publiques, Ă  notre engagement europĂ©en, Ă  notre vocation universelle. La premiĂšre exigence, c'est celle de la cohĂ©sion nationale. La nation française, forgĂ©e par l'histoire, constitue une communautĂ© de valeurs et de destin. Elle reconnaĂźt la diversitĂ©, s'enrichit des diffĂ©rences, revendique son pluralisme. Mais dans l'Ă©coute et le respect de l'autre, elle a toujours su privilĂ©gier ce qui unit sur ce qui sĂ©pare. FidĂšle Ă  l'idĂ©al humaniste qui guide le peuple français depuis la proclamation des droits de l'homme et du citoyen, je veillerai Ă  ce que les principes de libertĂ©, d'Ă©galitĂ© et de fraternitĂ© inspirent constamment l'action de son gouvernement. Cela signifie pour moi une solidaritĂ© renforcĂ©e. Une solidaritĂ© concrĂštement attentive aux difficultĂ©s de chaque Français. Une solidaritĂ© qui fasse reculer la prĂ©caritĂ© et qui redonne l'espoir Ă  ceux qui l'ont perdu. Une solidaritĂ© soucieuse de la sauvegarde d'une protection sociale dont je suis le garant, pour la santĂ©, pour la famille, pour les retraites. Cela signifie aussi une confiance plus grande faite Ă  nos compatriotes, par le plein exercice des libertĂ©s locales, le renouveau du dialogue social et l'accompagnement des forces vives de la Nation. Cela signifie le renforcement de l'Ă©galitĂ© des chances, depuis l'Ă©cole jusqu'Ă  l'emploi, et l'Ă©galitĂ© d'accĂšs Ă  la culture. C'est enfin l'Ă©galitĂ© des droits de tous partout en France. L'unitĂ© de la RĂ©publique s'impose Ă  moi comme une exigence primordiale. La France doit mettre fin Ă  des temps oĂč les repĂšres civiques se sont trouvĂ©s brouillĂ©s. Elle est une et indivisible. En tout point du territoire national, chaque Français a les mĂȘmes droits fondamentaux et les mĂȘmes devoirs, chaque Français participe d'un mĂȘme peuple, chaque Français dĂ©tient une parcelle de la souverainetĂ© nationale. Le PrĂ©sident de la RĂ©publique est le gardien de cette unitĂ©. Elle doit ĂȘtre respectĂ©e dans ses rĂšgles comme dans ses symboles pour lesquels tant de nos compatriotes ont perdu la vie. Pour que ces impĂ©ratifs supĂ©rieurs de cohĂ©sion nationale et d'unitĂ© de la RĂ©publique soient respectĂ©s, l'autoritĂ© de l'État doit ĂȘtre rĂ©affirmĂ©e. Elle le sera. C'est une exigence majeure de ce quinquennat. Le rĂ©tablissement de la sĂ©curitĂ© des Français en dĂ©pend, c'est-Ă -dire leur libertĂ©, leur Ă©galitĂ©, leur tranquillitĂ© d'esprit, une meilleure qualitĂ© de vie permettant d'agir, d'entreprendre, de construire, de faire des projets, de s'engager. L'action est lancĂ©e. Je m'y attacherai personnellement. En ces premiĂšres annĂ©es du nouveau siĂšcle, la France devra relever de nouveaux dĂ©fis pour conforter sa place et son rang en Europe et dans le monde. Elle doit les aborder avec confiance. Ses atouts sont nombreux. Notre pays peut et doit encore les dĂ©velopper. Il est bien lĂ©gitime que beaucoup de nos compatriotes ressentent inquiĂ©tude et parfois angoisse face aux mouvements du monde. La mondialisation des Ă©conomies est source d'Ă©changes, de crĂ©ation de richesses, d'activitĂ© et d'emplois nouveaux. Mais elle dĂ©truit d'autres emplois. Elle conduit Ă  une exploitation non raisonnĂ©e des ressources naturelles de la planĂšte. En France et partout dans le monde, nombreux sont les femmes, les hommes, les enfants, parmi les plus vulnĂ©rables, qui voient s'accroĂźtre la prĂ©caritĂ© de leur situation. Dans l'ordre international comme sur le plan intĂ©rieur, ils attendent des gouvernements qu'ils agissent pour que la mondialisation se fasse au bĂ©nĂ©fice de tous dans le respect de chacun. La mondialisation des Ă©conomies doit impĂ©rativement s'accompagner d'une mondialisation de la solidaritĂ©. La France, fidĂšle Ă  ses traditions, doit ĂȘtre au premier rang de ce combat. Elle doit ĂȘtre la nation de ce combat. Notre pays a un rĂŽle essentiel Ă  jouer pour mobiliser la communautĂ© internationale. Il saura agir pour rĂ©duire les incertitudes et l'instabilitĂ© d'un monde troublĂ© par les conflits entre les peuples, par le sous-dĂ©veloppement, par la violation des libertĂ©s et des droits fondamentaux, et par l'irruption de nouvelles formes de terrorisme, dont plusieurs de nos compatriotes, hĂ©las ! viennent encore d'ĂȘtre victimes. Pour contribuer Ă  faire progresser l'organisation du monde, la France doit ĂȘtre forte, affirmer sa place et son rang. Elle doit avoir l'Ă©conomie d'une grande nation. Elle doit soutenir un effort militaire digne de son influence et garant de sa sĂ©curitĂ©. Elle doit s'engager avec dĂ©termination pour que l'Europe s'exprime avec force sur la scĂšne internationale et qu'elle ait une prĂ©sence et une volontĂ© unies. La France, enfin, doit ĂȘtre Ă  la hauteur des attentes de tant de peuples amis pour lesquels la francophonie est synonyme de libertĂ©, de justice et de culture. Les espoirs et les attentes de nos compatriotes sont immenses. Je veux y rĂ©pondre. Ils peuvent compter sur mon engagement au service de l'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral, un intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral qui va bien au-delĂ  de tous les intĂ©rĂȘts particuliers, de tous les intĂ©rĂȘts partisans. C'est la conception que j'ai de ma fonction. Et c'est le mandat que les Françaises et les Français de mĂ©tropole, d'outre-mer et de l'Ă©tranger viennent de me confier. Je l'assumerai. Vive la RĂ©publique ! Vive la France !
rĂȘverd'ĂȘtre proche du prĂ©sident de la rĂ©publiqueratp smart systems merville. Credit Solution Experts Incorporated offers quality business credit building services, which includes an easy step-by-step system designed for helping clients build their business credit effortlessly.
RĂ©servĂ© aux abonnĂ©s PubliĂ© le 26/05/2021 Ă  2003, Mis Ă  jour le 26/05/2021 Ă  2003 Éric Zemmour. Jean-Christophe MARMARA/Le Figaro CHRONIQUE - Les ambitions politiques de notre plus grand poĂšte national racontĂ©es avec finesse par Bruno Fuligni. Et un recueil de ses meilleurs discours Ă  faire pĂąlir nos orateurs d’aujourd’hui. Dans son beau livre, La Promesse de l’aube, Romain Gary raconte que sa mĂšre, une Russe rĂȘvant de la France, disait sans cesse Ă  son fils adorĂ© Il faut aller vivre en France, le pays oĂč Victor Hugo est prĂ©sident de la RĂ©publique.»Madame Gary mĂšre se trompait mais avait tout devinĂ©. Pendant trente ans, Victor Hugo rĂȘva de l’ÉlysĂ©e.» Ainsi s’ouvre l’ouvrage de Bruno Fuligni. Le texte est bref, mais dense, avec un style nerveux, Ă©maillĂ© de formules brillantes. Notre historien aborde un pan de l’existence du grand poĂšte nĂ©gligĂ© par ses biographes son ambition politique. On sait qu’Hugo fut toujours passionnĂ© de politique et qu’il fut pair du royaume sous Louis-Philippe. On ignore cependant qu’il fut deux fois candidat Ă  l’élection prĂ©sidentielle ; mais en 1848, il se dĂ©siste en faveur de Louis NapolĂ©on Bonaparte ; et en 1852, la prĂ©sidentielle n’aura pas lieu NapolĂ©on III avait, un an plus tĂŽt, rĂ©glĂ© la question de sa réélection interdite par un coup d’État lire aussiJean-François Kahn Victor Hugo ne se reconnaĂźtrait pas dans l’Europe d’aujourd’hui»Lorsque la direction
 Cet article est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s. Il vous reste 85% Ă  libertĂ© c’est aussi d’aller Ă  la fin d’un Ă  lire votre article pour 0,99€ le premier mois DĂ©jĂ  abonnĂ© ? Connectez-vous Ilest le fils d’un marabout-politicien, Limam Chafi, trĂšs proche du bloc nigĂ©rien du Ppn-Rda et du prĂ©sident Diori Hamani, sous la premiĂšre rĂ©publique. Limam Chafi faisait partie des conjurĂ©s du coup de force du commandant Moussa BayĂ©rĂ© contre Seyni KountchĂ©, en1976. Un coup de force qui a Ă©chouĂ© et qui a motivĂ© la fuite de Limam Chaffi du Niger. KountchĂ©, Le prĂ©sident de la RĂ©publique Emmanuel Macron a affirmĂ© ce dimanche, lors d'un entretien dans l'Ă©mission TĂ©lĂ©foot, qu'il est "de la gĂ©nĂ©ration Marseille. C'Ă©tait une Ă©quipe gĂ©nĂ©reuse. Ils Ă©taient beaucoup Ă  me faire rĂȘver. Il y avait JPP. J'aimais beaucoup Chris Waddle".TĂ©lĂ©footEmmanuel Macron "Je suis de la gĂ©nĂ©ration Marseille. C'Ă©tait une Ă©quipe gĂ©nĂ©reuse. Ils Ă©taient beaucoup Ă  me faire rĂȘver. Il y avait JPP. J'aimais beaucoup Chris Waddle". TĂ©lĂ©foot telefoot_TF1 10 juin 2018
RĂ©publigramest un gĂ©nĂ©rateur de mĂšme. NĂ© Ă  la suite d’une campagne de communication du prĂ©sident de la RĂ©publique, il est devenu un nid Ă  dĂ©tournements et interroge sur la
Ce blog est personnel, la rĂ©daction n’est pas Ă  l’origine de ses contenus. La pluie, la grĂȘle, la foudre mĂȘme et tous les guerriers du Walhalla rĂ©unis n’auront pas rĂ©ussi Ă  empĂȘcher François Hollande de dĂ©barquer Ă  Berlin fringant comme Ă  la rosĂ©e du matin et feindre de ne pas remarquer l’accueil de sous-prĂ©fecture qui lui Ă©tait pouvait alors penser que, mĂȘme si le calendrier europĂ©en et international a ses exigences, rien n’obligeait le PrĂ©sident de la RĂ©publique Ă  peine investi Ă  se prĂ©cipiter toutes affaires cessantes en Allemagne pour ce qui aurait pu passer pour une forme d’allĂ©geance. Au vu de l’attitude rĂ©cente de la ChanceliĂšre, la courtoisie commandait plutĂŽt qu’elle se dĂ©place Ă  Paris. L’amitiĂ© franco-allemande n’en aurait pas Ă©tĂ© froissĂ©e
.Mais François Hollande est dĂ©cidĂ©ment un drĂŽle de zig. Cet amoureux de football – et pas seulement du PSG - prĂ©fĂšre dĂ©buter sur terrain adverse, parce qu’il sait que les buts marquĂ©s Ă  l’extĂ©rieur comptent double et qu’un match nul y est dĂ©jĂ  une victoire. Et lĂ , devant Angela Merkel verrouillĂ©e comme une dĂ©fense italienne des annĂ©es 70, Hollande s’en est donnĂ© Ă  cƓur joie, dĂ©roulant son jeu – croissance, croissance, croissance – avec la mĂȘme insolence que celle qu’il avait imposĂ© Ă  Sarkozy lors de leur dĂ©bat tout va bien. Les articles les plus lus Journal — Les affaires financiĂšres de La France insoumise RecommandĂ©s par nos abonnĂ©es
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