Jesuis juste passĂ©e de l’autre cĂŽtĂ©. Je suis moi et tu es toi. Quelque soit ce que nous Ă©tions l’une pour l’autre avant, nous le resterons toujours. Pour parler de moi, utilise le prĂ©nom avec lequel tu m’as toujours appelĂ©e. Parle de moi simplement comme tu l’as toujours fait. Ne change pas de ton, ne prends pas un air grave et triste. Ris comme avant aux blagues
Pensez Ă  conserver la source de votre texte et merci de donner la rĂ©fĂ©rence de notre site web aux personnes que vous connaissez. Je suis simplement passĂ© dans la piĂšce Ă  cĂŽtĂ©. Je suis moi, tu es toi. Ce que nous Ă©tions l’un pour l’autre, nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m’as toujours donnĂ©. Parle-moi comme tu l’as toujours fait. N’emploie pas de ton diffĂ©rent, ne prends pas un air solennel ou triste. Continue Ă  rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Prie, souris, pense Ă  moi, prie pour moi. Que mon nom soit toujours prononcĂ© Ă  la maison comme il l’a toujours Ă©tĂ©. Sans emphase d’aucune sorte, sans trace d’ombre. La vie signifie ce qu’elle a toujours signifiĂ©. Elle est ce qu’elle a toujours Ă©tĂ©. Le fil n’est pas coupĂ©. Pourquoi serais-je hors de ta pensĂ©e Simplement parce que je suis hors de ta vue ? Je t’attends. Je ne suis pas loin, juste de l’autre cĂŽtĂ© du chemin. Tu vois, tout est bien. Pourtantvous aimeriez vivre autre chose. Mais vous ne passez pas Ă  l'action : vous ĂȘtes dĂ©bordĂ©, vous avez peur, vous manquez de confiance en vous. L'inconnue vous bloque dans vos prises de dĂ©cision. Vous voulez vous sentir utile, faire quelque chose qui a du sens. Vous manquez d'idĂ©e de reconversion. Vous voulez changer tout ça.
L'amour ne disparaßt jamais !La mort n'est suis seulement passé dans la piÚce à suis moi, tu es que nous étions l'un pour l'autre, nous le sommes le nom que tu m'as toujours comme tu l'as toujours pas un ton prends pas un air solennel ou à rire de ce qui nous faisait rire souris, pense à moi, prie pour mon nom soit prononcé à la maison comme il l'a toujours été, sans emphase d'aucune sorte, sans une trace d' vie signifie tout ce qu'elle a toujours est ce qu'elle a toujours fil n'est pas serais-je hors de ta pensée, simplement parce que je suis hors de ta vue ?Je t'attends, je ne suis pas loin, juste de l'autre coté du vois, tout est bien.Saint-Augustin
Jesuis juste de l’autre côté, Henry Scott Holland Par Laurence Brun le mardi 26 septembre 2017, 17:30 La mort n’est rien, Je suis seulement passé dans la pièce à côté. Je suis moi. Vous êtes vous. Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours. Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné, Parlez-moi comme vous l’avez toujours fait.
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114abonnĂ©s Lire ses 135 critiques. 5,0. PubliĂ©e le 10 octobre 2013. Le Grand Chemin rĂ©alisĂ© par Jean-Loup Hubert en 1987, touche par le jeu juste et simple de Richard Bohringer ,portant un Harry Potter 2005 ~€~ Londres ~€~ Chemin de Traverse Re Explore le chemin de traverseInvitĂ©, le Mar 5 Sep - 1834 Merry me regarde fixement, me dĂ©vore limite du regard. Je souris et ne la lĂąche pas non plus. J'ai cru sentir son souffle s'accĂ©lĂ©rĂ© Ă  notre contact, j'ai cru sentir un frisson de son cĂŽtĂ© et j'ai cru qu'il Ă©tait mĂȘme parvenu dans mon corps tant nous Ă©tions proches. Je ne suis pas le seul Ă  sourire, la jolie rousse a le mĂȘme visage, le mĂȘme regard, le mĂȘme lĂ©ger pic de battements avec des joues adorablement rosĂ©es. Mes yeux bruns ne lĂąchant plus ses deux perles noisettes, je me laisse aller, je chavire, elle a pris le contrĂŽle, je suis en roue libre. Je navigue sans gouvernail, les voiles dĂ©ployĂ©es, sans personne en haut du mas pour savoir oĂč je vais, sans personne au gouvernail pour diriger, ah si, une personne pardon, cette rouquine justement. Nouveau sourire et enfin la jeune femme bouge. Elle bascule vers l'avant et m'enlace d'une coup, elle pause sa tĂȘte contre mon Ă©paule. Tellement de sensations indescriptibles, je ne sais que dire, que faire. Enfin si, je sais quoi faire. Lentement j'entour le creux de son dos avec mon bras gauche, l'autre dans la nuque. Doucement je remonte les deux mains et commence Ă  faire des caresses pour la dĂ©tendre. On reste un long moment comme ça, je sens son souffle chaud dans mon cou, je frissonne mais je souris, je suis parfaitement heureux, je suis en parfaite bĂ©atitude."Merry..."Un simple soupire, un simple nom mais qui en veut dire beaucoup pour moi. Dans la continuitĂ© des choses, je colle mon front au sien, garde ma main sur sa nuque et commence des petits cercles avec mon pouce, j'appuie lentement avec mon avant-bras pour que plus rien, mĂȘme pas une bulle d'air nous sĂ©pare. Pour moi, c'est un vrai plaisir cet instant, je le savoure, comme le meilleur des repas, le plus savoureux et le plus fabuleux. AgĂ©e seulement de dix-sept ans, chez les moldus elle n'est mĂȘme pas adulte, mais pas ici. AprĂšs ça ne fait pas beaucoup d'Ă©cart, juste je ne pensais pas qu'une fille comme ça existait, surtout si elle Ă©tudie encore Ă  Poudlard. Mais je m'en fiche, royalement, je suis bien en sa compagnie et je pense qu'Ă  mon bonheur. Et au sien, bien entendu, ça va de soi. Je ferme les yeux, je m'imagine dĂ©jĂ  poser mes lĂšvres sur elle, sur les siennes, lui donner le plus doux des baisers. Mais comment rĂ©agirait-elle? Ressent-elle ce que je ressens? Est-elle amoureuse? Autant que moi en tout cas? Et avec ce qu'elle a vĂ©cu, peut-elle encore tourner la page? Se dire qu'elle puisse faire confiance Ă  une nouvelle personne, Ă  un adulte? Si seulement je l'avais connu plus tĂŽt, que je sois encore Ă  Poudlard pour lui montrer au quotidien que les gens ne sont pas tous comme ça. Ce manque de chance de tomber toujours sur les mauvais, je compte bien inverser la tendance. Mais le problĂšme? J'hĂ©site encore... Je ne sais quoi faire... Ce n'est pas un manque de courage, je ne veux juste pas la brusquer, la dĂ©stabiliser ou encore pire tout gĂącher... Je ne me pardonnerais jamais si je la vois partir de ma vie, maintenant ou plus tard, mais ce que je sais, c'est que je m'en voudrais d'autant plus si je passe Ă  cĂŽtĂ© de ça, Ă  cĂŽtĂ© de la meilleure des relations avec cette une main je redresse son menton pour qu'elle me regarde, mon visage se rapproche dangereusement du sien, il est trop tard pour rigoler ou peut ĂȘtre que non... Je sais plus oĂč j'en suis. ET puis mince, soudainement je dĂ©pose fougueusement mes lĂšvres contre les siennes fermant les yeux. Ma main remonte de la nuque jusqu'Ă  la tĂȘte et la pression est plus forte pour intensifier cet instant. Si elle ne veut pas de moi tant pis, mais en tout cas je serai fixĂ©. Bon sang ce que je l'aime. InvitĂ© Re Explore le chemin de traverseInvitĂ©, le Lun 11 Sep - 1233 Tout allait pour le mieux. Merry s'Ă©tait libĂ©rĂ©e de toutes ces ondes nĂ©gatives qui l'avaient enfoncĂ© dans le sol durant des jours et des semaines. Elle avait Ă©tĂ© seule durant un temps dans son chagrin et dans sa souffrance, ne trouvant pas d'aide pour surmonter ce qui la faisait puis Albus Ă©tait arrivĂ© dans sa vie. Ils s'Ă©taient rencontrĂ©s dans la ForĂȘt Interdite alors que la jeune femme n'aurait pas dĂ» s'y trouver. ComplĂštement alcoolisĂ©e, Merry aurait pu ĂȘtre arrĂȘtĂ© par l'Auror qu'elle avait devant elle. Mais il n'en avait rien fait, il l'avait juste raccompagnĂ© en lieu sĂ»r, se fichant pas mal de la plaque qui ornait son manteau Ă  ce moment lĂ . L'ancien Poufsouffle avait depuis Ă©tĂ© lĂ  pour elle, mĂȘme si les coĂŻncidences, qui ont fait qu'ils se sont croisĂ©s plusieurs fois, ont jouĂ© un rĂŽle dans tout ça. Mais la Harper ne voulait pas croire aux coĂŻncidences. Cela faisait plusieurs soirs qu'elle se posait tout un tas de questions concernant le jaune et noir, concernant ce qu'elle Ă©prouvait pour lui et pourquoi elle se sentait aussi proche et attirĂ©e par lui. Mais il n'y avait pas vraiment de rĂ©ponses Ă  tout ceci... C'Ă©tait ainsi, la rouquine appelait ça le destin, ce qui la faisait beaucoup sourire. Le destin avait parfois Ă©tĂ© cruel avec elle. Mais elle savait que cette partie de sa vie, que le destin lui offrait, Ă©tait une bonne chose pour elle. Et elle savait dĂ©jĂ  que cette bonne chose resterait un long moment Ă  Ă©merveiller son quotidien. Elle le pressentait, comme si l'inverse Ă©tait tout simplement beaucoup de choses retenaient la britannique de faire le premier pas, de dire quelques mots qui inciteraient l'ancien Auror Ă  lui poser plus de questions, Ă  vouloir comprendre ce qu'elle ressentait. La timiditĂ© de la rouge et or prenait le dessus, la peur que ces sentiments qu'elle Ă©prouvait et qui Ă©taient bien rĂ©els, ne soient pas rĂ©ciproques. Pourtant, ce n'Ă©tait pas comme si Albus Ă©tait distant avec elle, il Ă©tait attentionnĂ© avec elle, il la protĂ©geait... Ce n'Ă©tait pas comme si il s'agissait d'une simple Ă©lĂšve Ă  ses yeux, qu'il avait rencontrĂ© et qu'il aidait en tant qu'ex Auror. Toutes ses paroles et tous ses gestes le montraient Ă  la rouquine... Mais elle avait si peur de se tromper et de tomber en plein cauchemar alors mĂȘme qu'elle Ă©tait dans un rĂȘve, sur son petit tĂȘte appuyĂ©e contre l'Ă©paule du beau brun, Merry cachait sa tourmente, se demandant si elle aurait dĂ» aller plus loin ou non. Mais le simple fait qu'Albus la serre dans ses bras et lui caresse la nuque lui faisait un bien fou, bien qu'elle se demandait si une personne qui la considĂ©rait seulement comme une amie aurait fait une chose pareille, un geste aussi affectueux et proche...Albus chuchota le prĂ©nom de la rouquine, seul son qui brisa le silence qui s'Ă©tait installĂ© dans la ruelle depuis que le jaune et la rouge s'Ă©taient arrĂȘtĂ©s... MĂȘme la nuit semblait ĂȘtre plus silencieuse qu'Ă  l'ordinaire, offrant un magnifique moment aux deux sorciers qu'elle accueillait sous sa contre tĂȘte, front contre front, la seule chose qui permettait Ă  Merry de savoir que le temps ne s'Ă©tait pas arrĂȘtĂ©, Ă©tait l'affection d'Albus qui continuait ses gestes tendres aux creux de la nuque de la jolie rousse. Un lĂ©ger sourire aux lĂšvres, Merry ferma les yeux un instant, profitant du moment, ce moment qu'ils vivaient juste tous les deux et qu'elle ne voulait pas briser de peur qu'il s'Ă©loigne d' les yeux, la lionne observa le jaune et noir qui semblait en proie Ă  une intense rĂ©flexion, paupiĂšres fermĂ©es. Fronçant un sourcil, la jeune femme s'apprĂȘta Ă  prendre la parole pour savoir ce qui pouvait bien le tourmenter. Mais l'ancien Auror ne tarda pas Ă  ouvrir les yeux, remontant le menton de Merry face Ă  lui qui laissa son regard se perdre dans celui du jeune homme qu'elle avait en face d'elle. Ce jeune homme pour qui elle Ă©prouvait des sentiments forts qui la perturbaient autant qu'ils la rendaient heureuse. Comme si elle avait pensĂ© ne plus pouvoir ressentir cela un jour... Elle n'avait d'ailleurs jamais ressenti cela auparavant. Il Ă©tait diffĂ©rent, ses sentiments Ă©taient diffĂ©rents. Elle seule pouvait le savoir et le sentir. Mais elle en Ă©tait dans les yeux d'Albus, Merry constata que leurs visages se rapprochaient, ne laissant que quelques centimĂštres entre eux. Qu'est ce qu'elle devait faire ? Sauter sur l'occasion, faire le premier geste ? Peut ĂȘtre qu'il la repousserait en se rendant compte qu'il faisait une grave erreur ? Tant de questions qui inquiĂ©taient la rouquine mais qui n'eurent pas Ă  recevoir une les derniers centimĂštres qui sĂ©paraient les lĂšvres des deux sorciers, Albus plaqua sa bouche contre celle de Merry qui ne recula pas... Elle Ă©tait juste surprise... Mais des milliers de sentiments s'emparĂšrent d'elle, des frissons et une chaleur naissante se mirent Ă  parcourir son corps, partant de ce contact si proche qu'elle avait avec celui qu'elle appelait sa destinĂ©e, jusqu'Ă  son cƓur qui diffusa tout ce bonheur qu'elle ressentait Ă  yeux fermĂ©s, Merry laissa l'ancien Auror poser sa main Ă  l'arriĂšre de sa tĂȘte, intensifiant le baiser qu'ils avaient tant dĂ©sirĂ©s chacun de leur cĂŽtĂ©. La rouge et or fit elle aussi remonter ses mains, laissant ses doigts s'entremĂȘler dans les mĂšches du beau brun qui l'embrassait avec sourire sincĂšre alla courber les lĂšvres de la rouquine lorsque leur contact se rompit. S'Ă©loignant trĂšs peu du visage du jeune homme face Ă  elle, Merry rouvrit les yeux, plongeant de nouveau ses pupilles noisettes - pĂ©tillantes de joie et d'amour - dans le regard, heureux semblait-il, d'Albus. Les joues rosies par la timiditĂ© et le sentiment de ne plus savoir quoi faire, la Harper repassa tout simplement ses bras autour du cou de celui... qu'elle aimait ? DĂ©posant un baiser sur sa joue, elle lui caressa la nuque, soupirant lĂ©gĂšrement la joie qui avait de nouveau prit possession de son corps. Puis, d'humeur joueuse, la jeune femme ne pu s'empĂȘcher de chuchoter quelques mots au creux de l'oreille du jeune Qui aurait cru qu'un ancien Auror se serait Ă©prit d'une Ă©lĂšve... Êtes-vous sĂ»r que c'est lĂ©gal monsieur ? InvitĂ© Re Explore le chemin de traverseInvitĂ©, le Mer 13 Sep - 1949 Ce baiser enflammĂ©, je ne veux pas qu'il s'arrĂȘte, je veux qu'il dure. Elle ne bouge pas pour l'instant, Merry ne rĂ©agit pas vraiment, serait-ce une erreur? Une pulsion non partagĂ©e? Mais pourtant, juste avant elle avait l'air aussi tourmentĂ© que moi, fronçant les sourcils, fermant les yeux mais ce n'Ă©tait peut ĂȘtre pas en rapport...Puis soudainement sa main remonte le long de mon dos donnant un grand frisson me traversant de toute part. Sa main rejoint mes cheveux et voilĂ  qu'elle joue avec mes mĂšches. Je suis d'un heureux, une joie intĂ©rieure qui explose, qui me soulĂšve et qui m'Ă©lĂšve jusqu'Ă  l'extase. Toute pression a disparu, il n'y a qu'elle, que nos lĂšvres scellĂ©es. Une vague de chaleur qui coule dans mes veines, mon coeur qui s'emporte et tellement de pensĂ©es qui arrivent, surchauffe de mon corps, je suis simplement content, c'est ce qu'il faut retenir. Je continue de l'embrasser fougueusement, les yeux toujours fermĂ©s. Lentement, chacun de son cĂŽtĂ© on s'Ă©loigne, pas de beaucoup, je sens encore son souffle chaud sur ma peau. Un sourire sur son visage, un petit Ă©clat de rire pour moi, c'est juste parfait, c'est un moment unique, merveilleux, que je n'oublierai pas. Nous ouvrons les yeux presque en mĂȘme temps, nos pupilles sont dilatĂ©es je peux le ressentir ou le voir dans son cas, son regard noisette gorgĂ© d'amour d'oĂč le mien rejoint avec impatience, se prĂ©cipitant pour ne jamais le quitter. Des joues rosies qui se suivent par ses bras autour de mon cou, je ne peux ĂȘtre plus heureux, je l'aime sincĂšrement, jolie rousse. Un bisous sur la joue qui me rĂ©chauffe, je bouillonne, quelques caresses sur la nuque et me voilĂ  aux anges. Je ne bouge pas, je ne veux plus la rouge approche sa bouche de mon oreille et me murmure"Qui aurait cru qu'un ancien Auror se serait Ă©prit d'une Ă©lĂšve... Êtes-vous sĂ»r que c'est lĂ©gal monsieur ?"Je rigole et la regarde avec des yeux pĂ©tillants, je l'embrasse furtivement pour un joli dĂ©but de rĂ©ponse et surtout pour la faire taire avec souris tout en rĂ©pondant"T'es majeure maintenant non? En tout cas chez les sorciers et puis quelle loi empĂȘcherait deux jeunes gens follement amoureux de se rejoindre sous une belle nuit d'Ă©tĂ© avec une lune aussi belle?"Ma main glisse de son dos jusqu'Ă  ses hanches, je fais de lĂ©gers cercles et descends mon autre main sur ses omoplates et la plaque lĂ©gĂšrement contre moi, pour ne laisser absolument rien entre nos deux corps, entre nos deux coeurs. Encore pris par une pulsion je rapproche de nouveau mes lĂšvres pour y dĂ©poser cette fois-ci le baiser le plus doux que je puisse faire, mes yeux se ferment mĂ©caniquement et mon coeur suit. Mes mains font toujours de lĂ©gĂšres caresses pour finalement la blottir contre moi, pour qu'elle soit parfaitement protĂ©gĂ©e, dans mes recule lentement et Ă  mon tour de lui glisser quelques mots Ă  l'oreille, des mots doux , dans un lĂ©ger soupire"Tout ce que je sais, c'est que je t'aime Merry." InvitĂ© Re Explore le chemin de traverseInvitĂ©, le Jeu 14 Sep - 2209 Merry se sentait bien. Merveilleusement bien. Elle avait l'impression que ses sentiments Ă©taient libĂ©rĂ©s, dĂ©voilĂ©s au grand jour, ou plutĂŽt, sous le ciel Ă©toilĂ© de la nuit. Elle Ă©tait heureuse. Tellement heureuse de pouvoir vivre un moment pareil sans se soucier de ce qui allait se passer par la suite, sans se soucier du point de vue des gens, sans se soucier de ce qu'il se passait autour d'elle, autour d'eux. Ses yeux pĂ©tillants de joie regorgeaient de sentiments. Elle avait l'impression d'avoir des feux d'artifices dans les pupilles qui illuminaient son regard et son Ăąme toute sourire s'Ă©tait sculptĂ© sur ses lĂšvres, Ă  tel point qu'on aurait pu penser que jamais il ne pourrait disparaĂźtre de cet endroit oĂč, juste un peu plus tĂŽt, les lĂšvres qu'elles avaient tant dĂ©sirĂ©es s'Ă©taient posĂ©es sur les siennes. Les gestes de la jolie rousse avaient Ă©tĂ© guidĂ©s par ses sentiments, par ce qu'elle ressentait sur le moment et elle ne s'Ă©tait pas sentit obligĂ©e de rĂ©flĂ©chir aux consĂ©quences de ses actes, bien qu'elle s'Ă©tait posĂ©e un tas de questions. Mais peu importe finalement ? Qui pouvait la juger ? Qui pouvait juger ses choix et la vie qu'elle menait ? Personne. C'Ă©tait sa vie Ă  elle, elle Ă©tait majeure dorĂ©navant et pouvait trĂšs bien prendre des dĂ©cisions sans que personne ne s'y oppose. MĂȘme si elle savait pertinemment que ses parents, mĂȘme ses grands frĂšres seraient outrĂ©s par un tel comportement, par un tel choix. Le reste de sa famille, qu'elle aimait tant aussi, n'approuverait peut ĂȘtre pas son choix non plus. Mais elle s'en contre-fichait. Elle Ă©tait heureuse. Et personne ne pouvait se mettre en travers de son bonheur. Il n'en Ă©tait plus question. Elle avait assez souffert comme ça, elle ne voulait plus que ça arrive...Soupirant contre la peau du jaune et noir, Merry exprimait sa joie et son soulagement. Elle avait ajoutĂ© Ă  tout ce moment une lĂ©gĂšre touche d'humour qui avait fait rire l'ancien Auror, ce qui l'avait fait d'autant plus sourire. Le voir heureux lui faisait reculant, la Harper fixa de nouveau Albus, qui se pencha une fois de plus vers elle pour l'embrasser Ă  peine quelques secondes. LĂ©gĂšrement frustrĂ©e, mais amusĂ©e, la rouquine lui caressa la nuque avec tendresse, laissant toujours ses sentiments prendre le dessus, tandis qu'il rĂ©pondait Ă  sa rĂ©plique. - T'es majeure maintenant non? En tout cas chez les sorciers et puis quelle loi empĂȘcherait deux jeunes gens follement amoureux de se rejoindre sous une belle nuit d'Ă©tĂ© avec une lune aussi belle?Il n'avait pas tout Ă  fait tord. Sa rĂ©ponse plaisait Ă  la jeune femme et la confortait dans son choix. Cette dĂ©cision qu'elle avait prise changerait sans doute sa vie, mais elle s'en fichait toujours. Elle se sentait lĂ©gĂšre grĂące Ă  ce sentiment de bonheur qu'elle ressentait et c'Ă©tait le principal. C'Ă©tait qu'elle avait prit la bonne dĂ©cision. Pour le moment tout du moins, bien qu'elle espĂ©rait que ce moment dure une ce moment Ă©tait si magique. Deux personnes qui s'aimaient et se le montraient. Elle espĂ©rait pouvoir faire ça toute sa vie... Mais le futur ne lui importait pas pour l'instant. Seul le moment prĂ©sent Ă©tait important. Ce moment plein de tendresse, ou les gestes d'Albus se firent doux et rĂ©confortant. La rouquine le laissa caresser ses hanches, passer ses mains sur ses omoplates et effleurer sa bouche. Blottie dans les bras de l'ancien Auror, plus rien n'a d'importance Ă  cet instant lĂ . Juste Tout ce que je sais, c'est que je t'aime Poufsouffle s'Ă©tait lĂ©gĂšrement reculĂ©e de la rouquine pour venir murmurer quelques mots Ă  l'oreille de sa belle. Souriant et fermant les yeux au souffle de son soupire, au son de sa voix, au sens de ses mots, Merry le serra un peu plus fort contre elle, ne voulant pas le laisser partir loin d'elle. Elle ne rajouta que quelques mots supplĂ©mentaires, ne voulant pas gĂącher ce moment qui lui importait Je t'aime aussi Merry enfouit Ă  nouveau son visage dans le cou d'Albus, embrassant doucement sa peau avant de revenir poser ses lĂšvres contre les siennes, les yeux d'abord ouverts, pour l'admirer, puis fermĂ©s pour profiter un peu plus de l'instant.Te n'aime InvitĂ© Re Explore le chemin de traverseInvitĂ©, le Mer 20 Sep - 1703 A mes derniers mots la jolie rousse ferme les yeux, esquisse un sourire et me serre fort contre elle. Je fais de mĂȘme et enfouis ma tĂȘte dans son cou. "Je t'aime aussi Albus"De si jolis mots qui font exploser mon coeur, des sentiments chaleureux et grandioses se rĂ©partissent dans mon corps, mon cerveau en Ă©bullition apprĂ©cie Ă©normĂ©ment cette phrase. Elle semble courte, sans importance mais pour moi elle est marquante et veut en dire beaucoup, plus que ce qu'elle veut dire, bien plus que ce que les gens peuvent penser ou dire. Je le sais, je le sens. A partir de maintenant c'est ma rousse. Merry enfouit de nouveau sa tĂȘte dans mon cou et y dĂ©pose un baiser tendre, comme une brise d'Ă©tĂ© qui me fait frissonner. Elle redresse ma tĂȘte et nous nous embrassons en douceur, s'admirant puis se dĂ©tendant, yeux fermĂ©s, en ne pensant Ă  rien d'autres que le moment prĂ©sent. Je pose mes mains sur ses hanches et mordille sa lĂšvre infĂ©rieure en rigolant. Je me recule de quelques petits pas et lui tient la main, mon pouce caresse le dos de sa main avec tendresse."Je me sens plus dĂ©tendu, pas toi?... Qu'en penses-tu mon attrapeuse de cƓur au vif? Et si une chose est bien en or, c'est le tien."Je me penche vers elle pour y dĂ©poser un court mais doux baiser sur ses lĂšvres qui s'envole avec le vent. Je la regarde avec tendresse et lui fait un lĂ©ger clin d'oeil."On ne s'est pas encore sĂ©parĂ© que j'ai dĂ©jĂ  envie de te revoir pour que le temps passe moins vite. J'espĂšre simplement que ça ne sera pas trop long, j'ai envie de passer tout mon temps avec ta jolie frimousse, Ă  contempler ton visage, fixer ton regard, ton sourire, entendre et sentir ton souffle chaud dans mon cou, compter tes tĂąches de rousseur pour connaĂźtre ton corps sur le bout des doigts..."D'un coup, je la tire vers moi et l'embrasse fougueusement sans plus aucune retenue, je me laisse prendre au jeu et prends les reines, je veux qu'elle suive mon rythme, de vie et cardiaque. Je veux qu'on ne forme plus qu'un, qu'on synchronise nos souffles pour que la symbiose soit parfaite, avec elle.Te n'aime aussi InvitĂ© Re Explore le chemin de traverseInvitĂ©, le Jeu 21 Sep - 1508 Merry aurait voulu que cet instant dure Ă  jamais, indĂ©finiment. Cet instant de dĂ©couverte, de nouveautĂ©s, de passion. De nouvelles sensations traversaient le corps de la jolie rousse qui ressentaient des choses qui lui avaient Ă©tĂ© inconnues auparavant. Il lui avait fallut 17 annĂ©es ainsi, Ă  vivre des bons et des mauvais moments, avant d'enfin pouvoir ressentir ces Ă©motions parfaites avec une personne unique. Cette personne unique qu'elle avait mit temps de temps Ă  trouver mais qui Ă©tait finalement face Ă  elle, contre elle. Cette personne contre laquelle elle Ă©tait blottit, qu'elle se pressait d'embrasser, dĂ©posant ses lĂšvres sur les siennes, revivant le premier contact proche et intime qu'ils avaient eut Ă  chaque fois que sa bouche rencontrait la sienne Ă  cƓur de Merry Ă©tait brĂ»lant. BrĂ»lant d'amour et de dĂ©sir d'aimer autant, d'aimer une personne de cette maniĂšre, jusqu'Ă  la fin de ses jours. Elle voulait aimer Albus pour une Ă©ternitĂ©, tout simplement, si seulement l'Ă©ternitĂ© existait pour l'amour. Ce dont elle ne doutait pas Ă  ce moment, sachant, ressentant qu'ils iraient loin tous les deux. TrĂšs loin... et qu'ils ne seraient pas prĂšs de se lĂącher. Qu'ils ne se quitteraient plus mĂȘme, malgrĂ© la lĂ©gĂšre diffĂ©rence d'Ăąge, malgrĂ© la distance qui les Ă©loignait. Elle s'en fichait pas mal aprĂšs tout, les sentiments, forts et profonds qu'elle Ă©prouvait pour lui, la rattachait Ă  lui. Quelque chose les liait. Quelque chose de fort, de puissant et d'intense. Un amour qu'elle n'avait jamais vĂ©cu et que son cƓur n'avait jamais connu jusque de mots pourraient dĂ©finir tout ce qu'il se passait Ă  l'instant, ce que son coeur, son esprit et son corps avaient dĂ©voiler ce soir-lĂ . A vrai dire, elle ne savait pas si un mot ou mĂȘme une liste de mots pourraient ĂȘtre la dĂ©finition de l'amour qu'elle Ă©prouvait pour l'ancien auror. Le mot qu'elle pourrait mettre sur ce lien qui les unissait, pour illustrer ce bonheur ressenti, n'existait pas Ă  ses yeux. Et n'existerait sans doute jamais... Mais peu lui importait pour l'instant, elle aimait, on l'aimait, ils s'aimaient et c'Ă©tait vraiment tout ce qu'il comptait Ă  ce moment Je me sens plus dĂ©tendu, pas toi?... Qu'en penses-tu mon attrapeuse de cƓur au vif? Et si une chose est bien en or, c'est le mains d'Albus Ă©taient venues frĂŽler les hanches de sa belle et les deux amants avaient Ă©changĂ© un Ă©clat de rire lorsque le jaune et noir s'Ă©tait mit Ă  mordiller la lĂšvre de la jeune femme. Leur regard accrochĂ©s l'un Ă  l'autre, les deux tourtereaux s'Ă©taient Ă©loignĂ©s lĂ©gĂšrement l'un de l'autre quand Albus avait fait quelques pas en arriĂšre, gardant la main de Merry dans la sienne, la lui caressant du bout du pouce. Mais cette courte distance entre eux ne dura pas longtemps une fois que le Poufsouffle termina sa phrase. Ce dernier se pencha vers elle, dĂ©posant un baiser aussi lĂ©ger qu'une plume sur les lĂšvres de la jolie rousse. Le regard qu'il lui lança ensuite fit frissonner Merry qui pouvait y voir tout l'amour qu'il Ă©prouvait pour elle. Et son petit clin d’Ɠil... ça la faisait On ne s'est pas encore sĂ©parĂ© que j'ai dĂ©jĂ  envie de te revoir pour que le temps passe moins vite. J'espĂšre simplement que ça ne sera pas trop long, j'ai envie de passer tout mon temps avec ta jolie frimousse, Ă  contempler ton visage, fixer ton regard, ton sourire, entendre et sentir ton souffle chaud dans mon cou, compter tes tĂąches de rousseur pour connaĂźtre ton corps sur le bout des doigts...Les joues de Merry se mirent Ă  rosir et une chaleur vint illuminer son visage d'une joie immense. Mais la rougeur eut Ă  peine le temps de bien colorer son visage qu'elle se trouva plaquĂ©e contre Albus qui l'avait attirĂ© Ă  elle, l'embrassant avec une fougue et une passion qu'elle ressentait rĂ©ciproquement. Intensifiant le baiser, la Harper ferma les yeux, se collant d'autant plus Ă  son bien-aimĂ© pour que plus rien ne les sĂ©pare, mĂȘme pas quelques petits millimĂštres d'air moment durant longuement, les deux fous d'amour se dĂ©collant l'un de l'autre quelques secondes Ă  peine, juste le temps de reprendre leur souffle et de s'admirer, juste le temps d'observer le visage de l'autre, s'attardant sur des petits dĂ©tails qui faisaient d'eux des personnes uniques et qui Merry pouvait bien le dire, faisaient leur charme. Ou tout du moins, c'Ă©tait ce qu'elle pensait concernant Albus. C'Ă©tait comme ça en tout cas, que la britannique avait apprit Ă  connaĂźtre Albus, il avait toujours Ă©tĂ© ainsi et elle avait par la suite apprit Ă  lui faire confiance, puis Ă  l' lĂšvres soudĂ©es Ă  celles de celui qu'elle aimait, Merry se recula une nouvelle fois, Ă  peine, juste assez pour pouvoir caresser son visage avec tendresse et amour, pour pouvoir jouer avec les mĂšches de cheveux qui retombaient sur son front. Les yeux de la rouquine - qui Ă©taient plongĂ©s dans le regard d'Albus - Ă©taient pĂ©tillants. Toute la joie et l'amour qu'elle dĂ©gageait s'apercevait Ă  travers son regard. Tout Ă©tait parfait. Et elle ne voulait absolument pas briser cet instant. Elle ne voulait pas rentrer et voulait juste rester Ă©ternellement dans les bras de celui qu'elle pouvait appeler son homme Ă  Je devrais partir... mais je n'en ai mĂȘme pas une once d'envie... Je suis tellement bien dans tes bras. TrĂšs fort InvitĂ© Re Explore le chemin de traverseInvitĂ©, le Jeu 28 Sep - 2132 Cet instant de pur bonheur Ă©tait long, trĂšs long, intense et ça ne me dĂ©plaĂźt pas, Ă  aucun moment et au contraire. Je prends un plaisir monstre et je me sens parfaitement bien. Nos lĂšvres soudĂ©es les unes aux autres se dĂ©tachent finalement pour nous laisser respirer un peu, ça serait bĂȘte de mourir maintenant...Elle parle, ses magnifiques lĂšvres s'animent et je me laisse aller, me transporte au rythme de ses mots"Je devrais partir... mais je n'en ai mĂȘme pas une once d'envie... Je suis tellement bien dans tes bras."Je souris doucement et la laisse jouer avec mes cheveux, nos fronts collĂ©s, le souffle lĂ©ger, les mots chuchotĂ©s"Moi non plus... Mais il le faut... Il est l'heure... Ma femme..."Un sourire se dessine sur mon visage, toujours nos regards pĂ©tillants gorgĂ©s d'amour qui ne se quittent pas."Dis toi que si tu pars maintenant, on pourra se voir bientĂŽt, chez moi. Au pire tu sais quoi? DĂšs que t'es Ă  Poudlard tu m'envoies une lettre, ça serait avec plaisir!"Je caresse doucement sa joue avec mon pouce et le creu de son dos du bout des doigts. Je laisse ma main courir sur elle pour rejoindre sa nuque dans une tendresse infinie..."Je t'aime toi tu sais?"Doucement je me dĂ©colle d'elle pour lui tenir la main, je l'entraĂźne avec moi pour marcher jusqu'au point oĂč je la laisserai s'en aller, sans moi...Je le lĂąche pas des yeux et mon coeur danse la samba, c'est la fĂȘte en moi et je sais que je pourrai dormir le coeur lĂ©ger, l'esprit Ă©vasif, rejoignant son corps durant un doux rĂȘve... Mais je sais que bientĂŽt, ce rĂȘve oĂč mon corps se recolle Ă  elle, la rejoint et l'embrasse tendrement, ne sera plus un rĂȘve... Mon rĂȘve sera rĂ©alitĂ© car je vais la revoir, trĂšs bientĂŽt pour de nouveau exprimer nos corps, montrer notre amour physiquement par des Ă©changes fougueux, passionnĂ©s sans aucun point nĂ©gatif, la perfection Ă  l'Ă©tat pur, comme elle. Fort fort fort InvitĂ© Re Explore le chemin de traverseInvitĂ©, le Dim 1 Oct - 1932 Tout Ă©tait parfait. La soirĂ©e, la personne avec qui elle Ă©tait, la maniĂšre dont se dĂ©roulait les choses et les Ă©vĂ©nements. C'Ă©tait gĂ©nial, magique. Les yeux de Merry pĂ©tillaient. Ils pĂ©tillaient grĂące Ă  tellement de choses. Cette soirĂ©e, sa joie, la chaleur qui traversait son corps, son amour pour Albus... et l'amour qu'il Ă©prouvait pour elle. Les sentiments Ă©prouvĂ©s, les Ă©motions ressenties ce soir-lĂ  Ă©taient maĂźtres de la soirĂ©e et de leur bonheur actuel. Ils guidaient leurs mouvement, leurs paroles, les choix qu'ils faisaient inconsciemment en rĂ©agissant Ă  l'autre et Ă  ses mouvements, ses mots. Merry se sentait si bien. Mais elle n'allait pas tarder Ă  devoir s'en aller... son frĂšre se demanderait oĂč elle se trouvait, pourquoi il ne l'avait pas vu rentrer elle Moi non plus... Mais il le faut... Il est l'heure... Ma femme...Les deux derniers mots prononcĂ©s par Albus firent frissonner Merry... C'Ă©tait tellement merveilleux Ă  entendre. Des Ă©tincelles firent presque leur apparition dans le regard de la rouquine et une chaleur immense s'installa de nouveau dans son corps, dans son cƓur, qui appartenait dorĂ©navant Ă  quelqu'un, Ă  une personne de Dis toi que si tu pars maintenant, on pourra se voir bientĂŽt, chez moi. Au pire tu sais quoi? DĂšs que t'es Ă  Poudlard tu m'envoies une lettre, ça serait avec plaisir!Merry aquiesça tout en fermant doucement les yeux, avant de les rouvrir pour plonger une fois de plus son regard dans celui de la personne qu'elle aimait du plus profond de son ĂȘtre et de son Ăąme. Toutes les cellules de son corps Ă©taient en euphorie face Ă  cet amour naissant et grandissant et rĂ©chauffait la jolie rousse qui Ă©tait loin d'avoir froid, au Je t'aime toi tu sais?Le merveilleux sourire heureux de la Harper regagna ses lĂšvres, tandis qu'Albus prononçaient ses mots et faisait, avant cela, remonter sa main vers sa nuque, qui avait quittĂ© le creux de son dos, caressant de l'autre main, du bout du pouce, la joue de sa sans briser ce moment intime, ce silence, l'ancien auror prit la main de la rouquine pour se remettre Ă  marcher. Merry, quant Ă  elle, finit par presser la main du jaune et noir, Ă  l'instant oĂč elle allait lui Oui je le sais, je l'ai bien compris je pense... Et tes sentiments sont tout aussi rĂ©ciproques...La jolie rousse hĂ©sita un instant avant de continuer, prenant une inspiration avant de chuchoter dans le Je t'aime aussi tu sais...Les pas du - on pouvait le dire - tout nouveau couple qui s'Ă©tait formĂ©, se firent dans le silence pour le reste du chemin. De longues minutes oĂč de petites attentions affectives apparurent, un baiser sur la joue, sur le coin des lĂšvres, une caresse tendre et chaleureuse, des mains qui se serrent, des doigts qui s'entremĂȘlent Ă  ceux de celui ou celle qu'on aime. Une fin de chemin qui se fit avec amour et affection, permettant aux deux jeunes gens de garder le sourire et les paillettes qu'ils avaient dans les bien vite le sourire de Merry disparu quand elle aperçu le chĂąteau au loin. Elle allait devoir rentrer et ce n'Ă©tait pas ce qu'il lui faisait le plus plaisir. D'autant plus qu'elle allait devoir se frayer un chemin en cachette si elle ne voulait pas se faire attraper par ceux qui tournaient dans les couloirs cette nuit-lĂ . Le chĂąteau Ă©tait encore relativement loin, mais la rouquine devait laisser Albus lĂ , qui n'avait plus le droit de l'accompagner Ă  partir de maintenant. Une moue sur le visage, elle se tourna vers lui, plongeant son regard aimant dans le sien, avant de venir se coller Ă  lui, l'entourant de ses petits bras qui se serrĂšrent contre lui, pour un cĂąlin d'au revoir. Puis un doux baiser sur les lĂšvres, de quelques secondes Ă  peine, un sourire, des mains qui se quittent, et un " merci " qu'elle chuchote dans la nuit avant de s'Ă©loigner de lui, lui adressant un dernier regard plein d'amour.FIN DU RP POUR MOI InvitĂ© Re Explore le chemin de traverseInvitĂ©, le Mar 3 Oct - 2154 Une lĂ©gĂšre pression sur ma main, je me tourne vers la jolie rousse et la voilĂ  qu'elle prend la parole. J'Ă©coute ses mots et ne quitte pas ses lĂšvres des yeux. Ce moment est un dĂ©lice et je m'en dĂ©lecte complĂštement. Mon coeur a fini son petit caprice et est revenu Ă  la normal, comme si tout ça Ă©tait normal ou en tout cas que je le mĂ©ritais. Qu'est-ce que je dis, bien sĂ»r que je le mĂ©rite! Pourquoi j'aurais pas le droit Ă  mon bonheur, mon petit plaisir personnel."Oui je le sais, je l'ai bien compris je pense... Et tes sentiments sont tout aussi rĂ©ciproques..."Un grand sourire et mon visage s'illumine autant qu'il rougit, ses mots me vont droit au coeur, c'est une magnifique soirĂ©e! Sans crier garde un "je t'aime aussi tu sais" se perdit dans le noir, entre les bruits de la nuit et ceux de nos pas... Je caresse lentement le dos de sa main et embrasse tendrement sa joue. Maintenant c'est le silence le plus total, lĂ , c'est simplement des attentions qui dirigent la marche, qui rendent le moment encore plus magique, sans concertation, juste en sachant ce que l'autre veut en tĂ©lĂ©pathie. Sourire et yeux pĂ©tillants, la nuit parfaite il est temps.... PLOP... Fin de la soirĂ©e, chĂąteau en vue!! L'heure de rentrer... Des regards amoureux, une Ă©treinte gorgĂ©e de sentiments et un baiser passionnĂ©... Pour finir sur des bras qui ne veulent pas se quitter et des lĂšvres qui chuchotent quelques mots, perdus dans les tĂ©nĂšbres de la nuit... Je suis restĂ© tellement longtemps comme ça, droit comem un piquet, attendant qu'elle rentre dans le chĂąteau puis quelques temps, le temps que j'estime qu'elle soit dans son petit lit rouge... J'aimerais la rejoindre pour que la nuit soit incroyable... Pfiou, hĂąte de la revoir, je suis impatient...Je rentre chez moi seul et part vite dans mon lit, une grande maison dĂ©serte, j'attends sa nouvelle venue. Je vais aller dormir moi mais oh.... Qu'est-ce que c'est que ça? Une chouette et une lettre? Serait-ce la demoiselle en dĂ©tresse?...[Fin du RP] Sariel FawkesSerpentard Re Explore le chemin de traverseSariel Fawkes, le Mar 17 Oct - 1012 UniqueTe souviens-tu, exactement, du commencement ?Etait-ce une main tendue dans la nuit ? Ou au contraire, une lumiĂšre qui t'attendait, que tu as suivi ?Je ne me souviens plus exactement des circonstances. Mais le sac de mots Ă©tait dĂ©posĂ© lĂ , aprĂšs cette nuit oĂč je n'avais pas rĂ©ussi Ă  m'endormir. Cadeau parmi les ombres et je savais que je n'avais pas le choix. Il fallait que je le fasse. J'Ă©tais, au beau milieu d'un bon nombre d'ombres, choisie pour agir. Aider Ă  ma passĂ© l'essentiel de cette journĂ©e Ă  me demander si c'Ă©tait la solution. A la lumiĂšre du jour, mes doutes semblaient bien trop importants. Croiser des visages, des sourires, entendre ces voix embrouillĂ©es dans la rue me forçait Ă  prendre part Ă  la rĂ©alitĂ©. Je n'avais pas d'Ă©chappatoire. Je devais faire face. PossibilitĂ©s... je ne pouvais oublierCe qu'on attendait de suivi la linĂ©aritĂ© singuliĂšre des rues que je connaissais pas coeur. J'ai foncĂ©, je crois, au beau milieu de cette foule qui n'existait plus ce soir-lĂ . Au nom de quoi ?A leur nom, dĂ©signĂ©s par ce cri commun, cet ne comprennent plus qu'il n'y a plus d'abĂźme. Qu'elle ne guette que ceux qui n'y prennent pas n'y a plus que cet espoir dans la cachĂ©e sur le coeur. Ma cape vissĂ©e sur mes cheveux de lumiĂšre. Je ne pouvais me cacher, mais on ne me reconnaitrait pas ce soir. Personne Ă  l'horizon. Il fallait le faire. Du bout de la baguette, la magie fusa et les exemplaires s'alignĂšrent contre la paroi brute. DĂ©sormais gravĂ©e de leur passage. Ils ne pourraient oublier ce petit matin, vous saurez, vous entendrez ce hurlement ont tous oubliĂ©, qu'ils Ă©taient toujours lĂ . Quelque ne se feront plus avoir par le cri du sourire satisfait devant le tableau d'Impardonnables. Et sans confession,dans un rire muet, transplaner vers le repos et l'attente d'une nouvelle occasion. L'ImpardonnableLe monde change. Dans les arbres le vent souffle plus intensĂ©ment, comme sur les villes magiques qui murmurent l'air de la LibertĂ©. Il est un Secret qui perdure depuis bien trop longtemps. Qui occulte tout ce que notre monde pourrait avoir sans se restreindre derriĂšre de banales formalitĂ©s. Il est temps d'ouvrir les yeux, de regarder en face les incohĂ©rences de la Justice, pour les rayer jusque dans les fondements des inepties qui la compose. Une nouvelle aube se profile, sans les chaines de la Restriction, et ce jour-lĂ  la seule question qui se posera est, quel est votre choix ? Appel des TĂ©nĂšbresMurmures de l'Ombre Il y a des mots qui se dĂ©forment dans le creux d'une oreille, courant d'une bouche Ă  l'autre et forcĂ©s parfois d'Ă©pouser la forme des pensĂ©es Ă©triquĂ©es de ceux qui ne les comprennent pas. Nos idĂ©es ne sont plus celles de nos prĂ©dĂ©cesseurs, nous les avons modelĂ©es, pour les faire correspondre au besoin de notre temps. Ce qui Ă©tait vrai hier ne l'est plus aujourd'hui. Nous nous sommes adaptĂ©s, devenant une voix qui se bat pour la communautĂ© magique et non forcĂ©ment contre elle. Le temps est venu que les mauvaises langues se taisent, que la vĂ©ritĂ© soit de nouveau Ă©tablie, celle dont le ministĂšre nous prive pour mieux s'enraciner dans sa bĂȘtise. Nos idĂ©es ne sont pas le Chaos mais bien l'Ordre pour tous, une libertĂ© absolue, sans chaĂźnes nous privant de nos droits les plus fondamentaux. À commencer par le Secret Magique. Nous en voulons l'abolition. RĂ©flĂ©chissez, pourquoi aurions-nous Ă  nous terrer dans l'ombre comme des indĂ©sirables alors que les moldus ne reprĂ©sentent dĂ©sormais aucune menace pour nous ? Alors qu'il serait possible de cohabiter sans que l'on ait Ă  se cacher d'eux ? Cette entrave Ă  notre libertĂ© ne peut plus durer, nous n'avons plus Ă  nous soumettre Ă  des idĂ©aux d'un temps passĂ©, ancrĂ©s dans les peurs d'un ministĂšre n'ayant plus lieu d' ministĂšre justement, qui n'a de cesse de nous prouver son incompĂ©tence au travers de nombreuses erreurs et approximations. Que dire de l'inefficacitĂ© des Aurors quand l'Ă©cole a Ă©tĂ© attaquĂ©e aussi librement qu'un moulin au milieu d'un champ ? Ou encore au travers de ses lois les plus absurdes et de sa hiĂ©rarchie trop verticale, dominĂ©s par un ministre incompĂ©tent que peu de vous apprĂ©cient ?Il est venu le temps de s'unir, de se dĂ©faire de ce systĂšme que l'on nous impose. Et ce par tous les moyens possible. Le pacifisme ayant depuis longtemps prouvĂ© qu'il ne mĂšnerait nul part, se perdant en discours ennuyeux ou en promesses illusoires. Il est grand temps d'agir, et non plus du que notre libertĂ© ne doit pas ĂȘtre un choix, mais un dĂ©chirure du monde1/ La vie moldue a-t-elle la mĂȘme valeur que la vie sorciĂšre ? Accordes-tu de l'importance au statut sanguin de tes proches ?La seule chose qui puisse diffĂ©rencier l’importance que nous accordons Ă  un ĂȘtre humain est liĂ©e Ă  ses actions, sa personnalitĂ©, bien plus que des notions comme le sang ou les pouvoirs magiques. En vĂ©ritĂ©, nous jugeons que les moldus et sorciers, tous sangs confondus, sont Ă©gaux. Technologie et magie ne sont que des bifurcations dans l’espĂšce humaine ; aucune n’est supĂ©rieure Ă  l’autre. C’est prĂ©cisĂ©ment pourquoi le contraste entre le cocon dont jouissent les moldus, et l’asservissement auquel le Secret nous soumet, est intolĂ©rable. 2/ Que penses-tu de la sĂ©paration des mondes magique et moldu ? Est-ce l'option que tu juges la plus viable sur le long-terme pour les deux communautĂ©s ?La sĂ©paration mise en place entre les mondes magique et moldu est, au mieux inefficace, au pire dangereuse. Nous pensons que la mĂ©connaissance mutuelle dĂ©veloppe des deux cĂŽtĂ©s haine, mĂ©pris, et peur. Une vĂ©ritable aberration, on est pas du bĂ©tail Ă  sĂ©parer chacun dans son enclos ! Pour cohabiter, il faut dialoguer, et non se laisser enraciner dans une sĂ©grĂ©gation plurisĂ©culaire. Les mariages "mixtes" sorcier/moldu prouvent que cette acceptation et ce vivre-ensemble sont possibles. » Oui, mettre fin Ă  cette sĂ©paration risque d’avoir un coĂ»t humain, mais c’est le coĂ»t de la Quel est l'Ă©quivalent moldu de la lutte contre le secret magique ? Nous connaissons trop peu l’univers moldu pour tirer des conclusions hĂątives. Cependant, nous trouvons des parallĂšles possibles entre les idĂ©aux de l’Ordre noire et des mouvements comme la lutte pour la mixitĂ© sociale ou la transparence politique. 4/ Qui dĂ©tient le monopole de la violence lĂ©gitime ? Es-tu satisfait de cette rĂ©partition des pouvoirs ?Nous ne sommes pas totalement d’accord sur la question, principalement parce que cela dĂ©pend du rĂ©fĂ©rentiel. Dans la communautĂ© sorciĂšre britannique, le MinistĂšre dĂ©tient la violence lĂ©gitime. En effet, il est le seul Ă  pouvoir user de violence directement ou par dĂ©lĂ©gation aux Aurors sans avoir Ă  subir de prĂ©judice. Nous trouvons qu’il lui arrive d’abuser de cette impunitĂ©, de faillir Ă  sa mission de protection. Si l’on prend pour repĂšre les communautĂ©s moldues et sorciĂšres, certains d’entre nous sont tentĂ©s de songer que ce monopole est dĂ©tenu par les moldus. Ce sentiment est surtout liĂ© Ă  l’asymĂ©trie des jugements en cas de conflit entre moldus et maniĂšre gĂ©nĂ©rale, cette rĂ©partition des pouvoirs ne nous satisfait pas vraiment. Le gouvernement devrait avoir moins de pouvoir, se fier Ă  son peuple. Ne sommes-nous pas prĂȘts Ă  nous assumer en tant qu’Etat-nation ? »5/ Si le MinistĂšre Ă©tait un objet, lequel serait-il ? Le bureau des Aurors serait-il fait de la mĂȘme matiĂšre ? Si non, laquelle ? Si oui, d'autres diffĂ©rences seraient-elles Ă  noter ?Clairement, ici on n’est pas deux Ă  voir les choses de la mĂȘme façon. Mais c’est normal hein, chaque cerveau fonctionne diffĂ©remment, c’est ce qui fait la beautĂ© de l’ĂȘtre humain. Soyons synthĂ©tiques, ne choisissons que deux mĂ©taphores ! Si le MinistĂšre Ă©tait un bateau en train de sombrer, ses Aurors en seraient la bouĂ©e dĂ©fectueuse. Une autre image serait celle du MinistĂšre comme une porte, une entrave, un non-lien, derriĂšre laquelle le secret peut disparaĂźtre et les communautĂ©s se rejoindre. A une ouverture prĂšs
6/ Si les deux principaux groupuscules Ordre du PhĂ©nix et Ordre Noir Ă©taient des animaux, que seraient-il ? Pourquoi ?Nous avons des avis mitigĂ©s sur la la plupart, nous voyons l’Ordre du PhĂ©nix comme un chien. Ils sont pour nous, un mĂ©lange de bons petits toutous qui peuvent montrer les crocs sans logique. Un animal donc en apparence de confiance, fiable et domestiquĂ© mais qui peut trĂšs bien rĂ©vĂ©ler un cĂŽtĂ© violent et dangereux. Cependant, d’autres voient cet Ordre comme un beau Paon, qui agite ses plumes pour paraĂźtre grand, mais qui n'a pas plus d'utilitĂ© que cela au fond, hormis faire mal quand on se fait pincer. Mais nous pouvons aussi voir l’Ordre du PhĂ©nix comme un moustique, un animal en voie d’extinction ou mĂȘme un cheval qui se laisse dompter facilement. En somme, un animal qui ne serait pas exceptionnellement dangereux. L’Ordre Noir, pour nous, s’apparente plus Ă  une meute de loup ou Ă  un serpent. Pour les premiers, ils chassent en meute et ont un Alpha pour pouvoir diriger cette vraie communautĂ©. Pour les seconds, c’est un Serpent, patient et qui attend toujours le bon moment pour agir et qui instinctivement suscite la crainte. Dans l’ensemble, L’Ordre Noir ressemble Ă  un prĂ©dateur tel que le dragon, l’ours ou mĂȘme le crocodile. 7/ Quelle Ă©motion t'inspirent les Mangemorts et pourquoi ?Nous Ă©prouvons principalement de la crainte mais surtout beaucoup d’admiration, de fascination envers cet Ordre. Pour certains, nous y voyons une source d’inspiration, de justice, de savoir, de modĂšle qui nous pousse Ă  nous surpasser. Leur force d’oser se lever face au pouvoir en place afin de dĂ©fendre la libertĂ© et lutter contre le Secret Magique, accroĂźt notre Si tu portais un masque, que ferais-tu de diffĂ©rent par rapport aux Mangemorts actuels ? Au Seigneur des TĂ©nĂšbres ? Pour la plupart, nous n’agirons pas forcĂ©ment diffĂ©remment. Mais si nous devions rĂ©ellement innover, nous pensons qu’attaquer de grandes personnalitĂ©s moldues ou accentuer le cĂŽtĂ© discutions afin de faire mieux comprendre l’idĂ©ologie serait un plus. De plus, ce serait un bon point de contrĂŽler les Ă©coles de Magie afin de crĂ©er une nouvelle gĂ©nĂ©ration plus impliquĂ©e dans les dĂ©bats politiques et soutenant notre cause. 9/ Que reprĂ©sente la technologie moldue pour toi ? Penses-tu qu'elle soit l'Ă©quivalent de la Magie ? Pour nous, la technologie moldue est l’évolution mĂȘme de leur communautĂ©. Cependant, elle n’est absolument pas l’équivalent de la magie. Pour certains, nous la voyons comme une faiblesse, comme un substitut Ă  notre magie en beaucoup moins bien. D’autres, pensent qu’elle pourrait ĂȘtre utile, que c’est avantage dont on pourrait tirer profit malgrĂ© le fait que la magie a un peu de mal Ă  se mĂ©langer avec les objets technologiques moldus. Cependant, nous y voyons aussi une certaine complĂ©mentaritĂ© puisque souvent la magie permet de faire des actions que la technologie ne permet pas et inversement. 10/ Si tu pouvais choisir le ministre de la magie, qui voudrais-tu ?Nous voulons du changement, tout simplement. Quelqu'un qui soit lĂ  pour briser les codes malsains Ă©tablis et ne pas plier sous le poids de ses responsabilitĂ©s. Nous voulons voir cette barriĂšre entre les moldus et les sorciers abolis, que le secret de notre existance soit enrayĂ© pour toujours. Un seul sorcier au pouvoir pourrait-il vraiment y parvenir seul ? Nous voulons que la communautĂ© soit justement reprĂ©sentĂ©e. Luttant fiĂšrement contre le despotisme actuel, nous voulons voir monter au pouvoir un gouvernement apte Ă  prendre les dĂ©cisions qui s'imposent. 11/ Penses-tu qu'il faudrait rĂ©former l'Ă©ducation magique ? Si oui comment et si non, pourquoi ?Nous savons tous que l'Ă©ducation est un tremplin commun c'est Ă  ce moment que nous acquĂ©rons nos bases et apprenons Ă  nous considĂ©rer comme de vĂ©ritables citoyens magiques. Poudlard devrait ĂȘtre indĂ©pendant du MinistĂšre - et pour cause, on nous enferme. Nous suivons des cours d'Histoire et de thĂ©orie sans jamais avoir le droit Ă  des bribes d'informations concrĂštes et d'actualitĂ©s. La faute aux professeurs ? Nous pensons que non. Mais nous contraindre Ă  ignorer ne fait que renforcer notre colĂšre. Les jeunes aussi ont le droit de savoir et de comprendre ce qui se passe rĂ©ellement autour de nous. 12/ Que dirais-tu pour convaincre la communautĂ© magique que la cause Mangemoresque est juste ?Nous voudrions leur offrir la libertĂ© dont ils ont Ă©tĂ© trop longtemps privĂ©s. Braves gens, voyez comme nous sommes prisonniers de leurs dĂ©crets nĂ©fastes ne visant qu'Ă  les protĂ©ger, eux ! Cela fait des siĂšcles que nos dirigeants se protĂšgent par peur de se mouiller. Nous voulons simplement vous offrir un monde oĂč vous pourrez sortir de chez vous et exercer la magie sans crainte de vous voir sanctionnĂ© ou pire, rejetĂ©. Vous ĂȘtes des sorciers. Cela fait partis de votre identitĂ© - nous voulons simplement que cela soit reconnu de tous. A tous ceux qui critiquent nos mĂ©thodes parfois extrĂȘmes sachez que nous n'avons pas eu le choix. Il a fallut que nous nous dĂ©fendions, que nous vous dĂ©fendions, pour que nos voix soient entendues. 13/ En tant que partisan de l’Ordre des TĂ©nĂšbres/des Mangemorts, as-tu un message Ă  faire passer Ă  la communautĂ© magique ?Vivez. Apprenons ensemble des erreurs du passĂ©. Battons nous ensemble pour ce que nous jugeons juste. Parce que tout ce que nous voulons offrir Ă  notre sociĂ©tĂ©, c'est la libertĂ© de vivre en Ă©tant soi-mĂȘme. Éclats d'OmbreLes messagers de la nuit,Filent dans les ombres,Ils sont le phare qui luit,Et Ă©claire la sonnent les heures,Est venue celle de la dĂ©livranceChantent chantent les pleurs,Entend les cris dans les silences. Ils veulent abolir le Secret,Pour le monde magique,Un plus grand bien Ă  crĂ©er,Une communautĂ© sonnent les minutes,Est venue celle du partage,Volent volent les volutes,Des sorciers sans CrĂ©puscule porte sa lame,Et se dresse comme l'Ordre,Dans l'ObscuritĂ© il est flamme,Ou se blesse le sonnent les secondes,Est venue celle du Temps,Danse danse donc ce monde,A ce parfum de dĂ©ment. L'Ombre Ă©tend son emprise,A son souffle frissonnant,Rejoignez cette douce brise,Devenez leurs journaux de propagande et celui de la au nom du peuple est donnĂ© Ă  tout le monde, mais connaĂźtre rĂ©ellement ses attentes, ce n'est pas le cas. Nos ennemis ont cru bon de publier des ramassis de propagandes pour vous rassurer, alors que leur but premier Ă©tait de veiller Ă  ce que les chaĂźnes attachant votre libertĂ© soient encore bien en place ! Il est grand temps que votre esprit s'ouvre sur un monde meilleur oĂč nous n'avons plus besoin de nous cacher. Laissons la Magie s'exprimer. ©MM87 DerniĂšre Ă©dition par Aya Lennox le Lun 13 Nov - 858, Ă©ditĂ© 1 fois GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re Explore le chemin de traverseGaĂ«lle Panyella, le Sam 11 Nov - 1219 Pv AliceLe tourbillon de feuilles automnales l'emporte dans sa jolie danse avec une douceur qui dĂ©tone contrairement Ă  ce Ă  quoi elle est habituĂ©eDu moins, ce qu'elle pense. Elle ne peut pas vĂ©rifier. Comme durant un bon nombre de moment de sa vie, mais ça fait entiĂšrement partie de celle-ci Ă  prĂ©sentUne routine grise, terne, noire. Au final le rĂ©pĂ©ter dans sa tĂȘte ne sert Ă  rien, le rĂ©sultat est le mĂȘme Pas la peine de tenter une quelconque tentative de psychologie inversĂ©e, c'est un acte perdu, peu importe le sens, il faut une prĂ©sence, c'est toutSinon, rien de rien ne s'accorde avec son pas, ses envies. Si les rĂȘves veulent prendre des allures de rĂ©alitĂ©, il faut que la gamine soit accompagnĂ©e C'est toujours une petite fille Ă  qui il faut tenir la main, jamais Mary ne pourrait traverser un passage pour piĂ©tons seule Quelqu'un doit ĂȘtre Ă  ses cĂŽtĂ©s, serrer sa poigne de bĂ©bĂ© et lui assurer que c'est bien vert, qu'aucune des mĂ©chantes voitures viendra l'Ă©craserPendant quelques minutes, elle tourne, en mĂȘme temps, les bras levĂ©s, paupiĂšres closes Mais le vent finit par s'arrĂȘter, la laissant pantelante, sur le sol elle finit par s'asseoir en frottant des yeux rouges de frustrationIl n'y a pas Ă  dire, elle est de nouveau laissĂ©e Ă  elle mĂȘme, vouĂ©e Ă  se dĂ©brouiller seule c'est trop tĂŽt mais je suis lĂ C'est un peu comme un lion nĂ© en captivitĂ©, une fois remis Ă  l'Ă©tat sauvage, faut un temps d'adaptation, si un jour il arrive Ă  s'adapterAlors qu'elle Ă©tait prĂ©destinĂ©e Ă  ĂȘtre prĂ©datrice, elle finit proie des autres fĂ©lins affamĂ©s en manque d'adrĂ©naline Ils ne veulent pas des gazelles, prĂ©fĂ©rant se confronter Ă  l'une des leurs Jouer au chat et Ă  la souris, c'est une chose, ĂȘtre tous les jours le petit rongeur, c'est une autre~Haussement d'Ă©paules L'abandon, c'est lui qui a pris l'apparence d'une habitude Se mĂȘlant Ă©tonnement bien avec la belle rĂ©signation Pourtant elle s'efforce tous les jours Ă  lever les bras De plus en plus hautUn effort dans ce tas de dĂ©combres Un jour son esprit finira catacombes Marche aprĂšs marche elle se relĂšve Continue sa route sur le chemin de traverseParfois elle courre, de peur que quelqu'un trouve ça drĂŽle de jouer Avec l'entassement d'ossements qu'est son cerveauElle en a rencontrĂ©, des ĂȘtres qui voulaient s'amuser, et plus le temps passe, plus elle ne veut plus rester seule Allez simplement Ă  la plaine de jeu,S'amuser sur une balançoireTourner Ă  en perdre la tĂȘte, prendre de l'Ă©lan, s'Ă©lancer, yeux clos, quitter le morceau de bois, arrĂȘter de s'accrocher Retomber sur l'herbe qui sert de repos, terminer en s'Ă©crasant, mais garder le regard rieur, pĂ©tillant Avoir cette envie de recommencer Ă  l'infini Elle a perdu ça aussi la petite MaryMais enfoncĂ©es dans les poches de sa veste, ses pieds se font de plus en plus traĂźnants Il lui arrive de temps en temps ~ de plus en plus souvent ~ de se laisser avoir par des pulsions qu'elle tente de refouler Simplement oublier, sous le coup d'une bouteille, ou deux, plusieurs fois que le jeu la tente, qu'elle a envie de recommencer Suffit, c'est simple, ouvrir le sac Ă  dos qu'elle transporte, prendre la flasque piquĂ©e chez ses autres grands-parentsCeux qu'elle n'aime pas De prendre, une ou deux gorgĂ©e, mine renfrognĂ©e ce n'est pas ce que sont censĂ©es faire les petites filles- J'm'en fiche Stella Juste, tais toiEn boucle Elle rĂ©pĂšte Le liquide s'Ă©coule dans sa gorge C'est pas facile Ă  avaler Elle recrache Mais recommence Jusqu'Ă  arriver Ă  engloutir ne serait-ce qu'une seule gorgĂ©e Puis d'autresRecommencer Maintenant qu'elle veut que ça tourne ça ne le fait pas N'importe quoiNouveau capriceElle frappe dans le murC'est un peu comme une balle en mousse VoilĂ  ce qu'ose lui dire trois Un mensonge, encore et toujours qu'elle croit Un Ă©lan de douleur la traverse Simple flash d'une seconde qui avait fait tout revenir Comme quand les aurores se sont affichĂ©es Il fallait simplement se pĂ©ter le crĂąne Suffit de recommencer Pour rĂ©ussir Une main ça ne suffit pas Seul un liquide gris glisse le long de son bras Alice GrantSerdaigle Re Explore le chemin de traverseAlice Grant, le Mer 6 DĂ©c - 2252 DĂ©solĂ©e pour le retard, lapin tout ça xLes feuilles sont belles mais mortesTransformant les rues en un immense cimetiĂšre,Et tout le monde s'en foutMais pas toi parce que les pas craquent, t'as pas l'habitudeTu prĂ©fĂšres qu'ils soient silencieux pour que personne ne remarqueA quel point ils sont maladroits. Tant les laisses te porter sur les pavĂ©s, en laissant derriĂšre des empreintes d'hĂ©sitationCapuche sur les Ă©paules, t'essayes de pas la rabattre sur tes traits comme toujoursToujours c'est un type qui donne une impression de dĂ©jĂ -vuPour Ă©viter les regards, Ă  croiser ou Ă  poserTrop lourds de mesure de jugements en un instantMais c'est pas si difficile en Ă  l'aise, tu as l'impression de rĂ©-apprendre Ă  marcherAprĂšs n'avoir fait que tomberTu reprends t'es lĂ  dĂ©jĂ ?Ah oui, pour rien.Rien c'est quelqu'un qui n'est jamais venu.L'air frais te lave la tĂȘteAu bout de quelques mĂštres tu t'autorises un pas de danse, puis une girouetteLe type derriĂšre change de trottoirHausse les Ă©paules, tire la langue et part en courantComme la gamine que t'as Ă©tĂ© Comme la gamine que tu esTe voilĂ  sur le chemin de puis tu la avec qui tu partages un secret de train fou et de t'arrĂȘtes pour un instant de doute, hĂ©sitanteAvant de repartir encore plus viteDans sa direction tout en te demandant ce que tu fous et puis tu te rappelles que les choses tu les fais rarement rationnellementArrĂȘtes de fuir ceux qui ont connu ta dĂ©menceAffronte leurs yeux mĂȘme si tu as peur de ton vieux refletLe fantĂŽme de ta double-face ne va pas en sortir pour te saisir la tĂȘte comme a besoin d'aide parce qu'elle est encore plus folle que le sais tu ne peux pas simplementIgnorer le liquide dans la bouteille et le sang sur son poses ta main toujours eu l'impression de mieux atteindre les gens en les touchant Attention, tu vas te blesser...Pause,Tentative de captage de Tu vois pas que tu saignes? GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re Explore le chemin de traverseGaĂ«lle Panyella, le Sam 23 DĂ©c - 1309 musique Ă  bouclerSes yeux Ă©bahis le regarde glisser Il est assez joli Un peu argentĂ© Des fois elle se demande ce que ça donnerait Si toute entiĂšre elle baignait Dans une marre de cette drĂŽle de matiĂšreUn peu poisseuse sur les bord Une piscine de sangD'oĂč elle ressortirait mĂ©tamorphosĂ©e PeinturĂ©e de toute part Un peu joli, une armure de ferMĂ©tallisĂ©e, une Mary guerriĂšre PrĂȘte Ă  tendre son Ă©pĂ©e droit devant, le coeur battant Pour combattre le monde Les dĂ©mons et les ombres Enfin se dĂ©voiler, montrer les crocs Forger des barriĂšres impĂ©nĂ©trables Si seulement elle pouvait ne plus sentir Les Ă©pines s'enfoncer dans sa peau Empoisonner sa tĂȘte Simplement grĂące Ă  une couverture Tout serait plus rassurantMais lĂ  il n'y a qu'une trace Qui s'Ă©coule doucementElle ne cherche pas Ă  l'arrĂȘter Peut-ĂȘtre qu'Ă  elle seule elle pourra la recouvrir Avec un peu de temps et de volontĂ© Tout peut arriver C'est une promesse dĂ©bile elle le sait L'Ă©tau se resserre sur sa poitrine blessĂ©e Suffirait de s'Ă©chapper Ou de se couvrir de poussiĂšre DisparaĂźtre dans la masse Elle se voudrait apathique Insensible,Ne plus rien ressentir Bloc de glacePour toutes les peines qui la tuent Ă  petit feu DrĂŽle d'ironie Quand certains cherchent Ă  raviver des flammes Mais elle se met Ă  comprendreCeux qui veulent oublier Se cacher, censurer leurs propres pensĂ©esPour ne plus ressentir Ces pointes destructrices Sentiment drĂŽle de nom quand mĂȘme Il y a sang, dedans Puis centime aussi On en revient Ă  l'argentC'est dommage pour la fin ce iment de beaux mots finissent comme ça pourtantComme scintillement Une Ă©toile morte peut-elle briller ?Il y a cette peauQui rejoint la sienne Un geste calme et apaisantElle ne cherche pas au dĂ©partPensant que c'est une chimĂšreUn Ă©niĂšme coup du sort Qui veut encore jouerComme si il n'en avait pas fait assezPuis cette voixCelle d'une folle d'une illusion Elle n'a jamais su si elle Ă©tait rĂ©elle ou non Comment pourrait-elle ?Un trainUne attaqueDes dĂ©bris et du sang qui claque Il y a tant de choses qui ont fait Qu'on ne pouvait pouvait pas savoirLes idĂ©es sont toutes emmĂȘlĂ©es qui es-tu ?Un ange gardien Ou simplement un autre aiglon mort Elle ne peut ĂȘtre qu'oiseauPuis une questionQu'est-ce qu'elle raconte ?Comment savoirCe que cache le liquide Ă©toilĂ© ?VoilĂ  qu'elle pose Ă  nouveau ça mainSur la plaieNon, il doit y avoir une erreur Je ne sais pas, c'est sans doutes de la peintureÀ moins que Et si l'apparition avait raison ?Pourquoi mentirait-elleMais il y a bien une chose qui est sĂ»re Le sang c'est rougeOu brunOu foncĂ© mais ne parlons pas trop de couleurAlors que lĂ Ce qui glisse c'est grisDu coup pourquoi essaierait-elle De l'amadouer Sentiment non pas lui *impressiondetrahisonFaut pas Si ça se ditC'est moi qui me fait encore avoirpar le voile noir Est-ce que tu mens ?grande accusationMais rien que par sa prĂ©senceElle ne sait plus distinguersi dĂ©jĂ  son apparition est mensonge qu'en est-il du reste ? Alice GrantSerdaigle Re Explore le chemin de traverseAlice Grant, le Sam 13 Jan - 2144 Trigger warning - abus d'alcool dans le 1er paragrapheTu te souviens de la premiĂšre foisOĂč tu t'es rĂ©veillĂ©e avec les traces de vinaigre sur les lĂšvresSans comprendre tes doigts passĂšrent dessus-Gorge t'Ă©tais levĂ©e, ton pieds heurta quelque chose de froid-Bruit de ramassant la bouteille vide c'est lĂ  que tu as comprisQuel Ă©tait ton seul moyen pour t'Ă©chapperPour dĂ©barrasser ton esprit d'elleIl suffisait de la ne seras plus jamais lucide et heureuse en mĂȘme tempsIl te fallait jongler entre les deuxJusqu'Ă -ce qu'ils finissent par sa main tu retrouves tes dĂ©monsJe ne sais pas, c'est sans doutes de la peintureEt dans ses yeux la folieSalut toiOn danse?Le sang c'est rougeTu n'es plus aussi faible qu'avant qui glisse c'est grisTu as appris Ă  soutenir ces regards emmĂȘlĂ©sA Ă©couter ces mots que tu mens ?Ce n'est pas ta premiĂšre partie contre la reine de cƓurTu commences Ă  comprendreLes rĂšgles du es-tu capable de gagner?Elle a un bourreauElle a une couronneElle a une armĂ©eElle a le tempsEt toi tu asJe ne mens jamais aux aveugles. L' une baguetteQue tu pointes sur son brasEpiskeyEnfin ce n'est pas ça qui est blessĂ© AliceAu moins c'est ensuite le murMulticorforsPour peindre les roses en te souviens maintenant?Les fleurs de la Maudite Grosse TĂȘte... GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re Explore le chemin de traverseGaĂ«lle Panyella, le Sam 20 Jan - 2258 Elle a le coeur dĂ©chirĂ© en mille morceaux Ă©parpillĂ©s Elle a le sang qui ne veut plus circuler il est en quelque sorte sĂ©chĂ© Elle a la vie qui semble partiepourtant elle est toujours lĂ Elle a cette sensation de fin alors que cet " il Ă©tait une fois "raisonne toujours dans sa tĂȘtecomme si c'Ă©tait le dĂ©but Des horreurs Une maison hant
Pourquoiserais-je hors de vos pensées, simplement parce que je suis hors de votre vue ? Je ne suis pas loin, juste de l'autre cÎté du chemin. Canon Henry Scott-Holland (1847-1918), traduction d'un extrait de "The King of Terrors", sermon sur la mort 1910 . Quelquefois attribué à Charles Péguy, d'aprÚs un texte de Saint Augustin
26 mai 2008 1 26 /05 /mai /2008 1245 Voici quelques nouvelles ... J'ai le sentiment, Ă  tout instant, que Malo va surgir de sa chambre, dĂ©guisĂ© en Harry Potter ou en Dark Vador, et va me demander de l'aider Ă  trier les piĂšces d'un puzzle. tri des cĂŽtĂ©s, des couleurs Lorsque je dis "Ă  table", j'attends Ă  voir mes deux trĂ©sors se prĂ©cipiter dans la cuisine pour s'installer. Puis le dĂ©sespoir envahi la maison. Anna essaie de rĂ©conforter sa maman, mais rien y fait ... Victor Hugo a Ă©crit le 4 septembre 1852, soit 9 ans jour pour jour, aprĂšs le dĂ©part accidentel de sa fille LĂ©opoldine "Il me semblait que tout n'Ă©tait qu'un affreux rĂȘve, Qu'elle ne pouvait pas m'avoir ainsi quittĂ©, Que je l'entendais rire en la chambre Ă  cĂŽtĂ©, Que c'Ă©tait impossible enfin qu'elle fĂ»t morte, Et que j'allais la voir entrer par cette porte! Oh! que de fois j'ai dit silence ! elle a parlĂ© ! Tenez ! Voici le bruit de sa main sur la clĂ© ! Attendez ! elle vient ! laissez-moi que j'Ă©coute ! Car elle est quelque part dans la maison sans doute ! "JC a repris son travail lundi dernier, Anna n'a jamais arrĂȘtĂ© l'Ă©cole pendant ces moments douloureux et a tenu Ă  "continuer Ă  vivre normalement". Il semblerait que l'Ă©cole lui fasse un bien fou. Etre une enfant insouciante et pleine de vie comme les autres pendant l'espace de quelques heures. Quant Ă  moi, j'ai aussi dĂ©cidĂ© de reprendre le travail le plus vite possible soit lundi prochain. Je sais que ça va ĂȘtre trĂšs trĂšs difficile, mais si je ne reprends pas maintenant, je vais m'engouffrer dans un dĂ©sespoir et une angoisse qui ne me permettront pas de reprendre le boulot avant trĂšs longtemps. Je tenais Ă  remercier toutes les personnes qui se sont jointes Ă  nous pendant la marche des plaquettes. C'Ă©tait dur, Ă©videmment, mais on l'a fait pour Malo, BĂ©rĂ©nice, et tous les autres enfants partis trop tĂŽt ou encore dans la galĂšre de la maladie. Un site a mis Ă  disposition des photos magnifiques de la marche, et "notre groupe" est reconnaissable puisqu'Anna a Ă©crit sur nos tee-shirts MALO. Il y a de trĂšs belles photos de ma princesse, qui est passĂ©e sur plusieurs Ă©paules, avec Ă  la main une Ă©chelle de ballons ... voici le site Enfin, comme la lecture fait partie de moi, ce n'est pas un scoop c'est pas pour rien que Malo avalait tant de cabanes magiques et autres bouquins en tout genre j'ai dĂ©cidĂ© de vous dire mes lectures depuis le dĂ©part de Malo. Pas toujours, voire pas du tout joyeuses mais je sais qu'il y a des parents dĂ©senfantĂ©s comme nous qui viennent sur ce site et Ă  qui ça peut faire du bien ... Alors voilĂ  - Laure Adler "A ce soir" RĂ©cit du dĂ©part du petit RĂ©mi 9 mois, fils de l'auteur, parti il y a 17 ans. L'idĂ©e que le temps n'efface rien , Ă©crit d'une maniĂšre trĂšs sobre. Un peu loin nĂ©anmoins de notre univers, de ce que nous avons vĂ©cu. - Paul Vacca "La petite cloche au son grĂȘle" C'est un roman, un petit bijou, un hymne au bonheur de lire. C'est aussi l'amour d'une mĂšre et d'un fils. Et puis, en fil conducteur, il y a Marcel Proust ... - Harlan Coben "Innocent" AprĂšs de maintes tentatives, je n'ai pas franchi la 40Ăšme page. Non pas qu'il ne soit pas bien, mais c'est un polar, Ă  10 000 lieues de mon univers actuel. A retenter dans quelques annĂ©es .... - Catherine Loedec-Jorg "Falikou" C'est un conte sous forme de BD destinĂ©e aux enfants pour leur expliquer "l'autre chemin ...". Il a Ă©tĂ© Ă©crit par une maman qui a perdu son fils. On m'a conseillĂ© ce livre en septembre dernier. Je l'ai achetĂ©, je l'ai lu, j'ai pleurĂ©. Et puis je l'ai refermĂ©, de toute façon c'est bien connu, le malheur n'arrive qu'aux autres et nous nous n'Ă©tions pas concernĂ© par cette histoire. J'ai rangĂ© ce livre pour que les enfants ne le lisent pas. Je l'ai oubliĂ©. Avant le dĂ©part de Malo, l'une des cadres de St Louis m'a conseillĂ© ce livre. Pas la force, pas l'envie de le lire Ă  Malo ... et puis Malo est parti, je l'ai relu et de nouveau pleurĂ©, mais cette fois de ma faiblesse de n'avoir pas rĂ©ussi Ă  lui lire. Anna l'a lu. Je l'ai vu cogiter ensuite ... PrĂ©sentation de l'Ă©diteur Si Le Petit Prince s'Ă©tait arrĂȘtĂ© sur la planĂšte "hĂŽpital", et m'avait demandĂ© "Dessine-moi un soignant", j'aurais pu dessiner quelqu'un en blouse blanche avec sa panoplie d'accessoires dans les mains ou dans les poches, car soigner c'est bien sĂ»r faire des soins, rĂ©aliser des examens, donner des mĂ©dicaments... mais comment reprĂ©senter le "prendre soin", qui nous conduit parfois Ă  accompagner un enfant sur un chemin difficile, Ă  rĂ©pondre Ă  ses questions sans lui faire peur, mais aussi sans lui mentir... Si Le Petit Prince venait aujourd'hui, je pourrais lui lire Falikou, conte Ă©crit par une mĂšre Ă  son fils, et je pense qu'il me poserait alors bien d'autres questions...- Philippe Forest "L'enfant Ă©ternel" OUUUUU. Comment dire ? un livre qui remue, magnifiquement Ă©crit. Le parcours d'une petite fille dans la maladie, vu par le pĂšre et auteur du livre. J'ai trouvĂ© certaines descriptions un peu "trop longues" mais l'ensemble est d'une cohĂ©rence et d'un rĂ©alisme oĂč j'ai pu malheureusement me retrouver parfois ... Je commence ce soir "Adrien hors du silence" de Claude Couderc. Published by Sandrine - dans L'aprĂšs .... Jesuis juste de l’autre cĂŽtĂ© du chemin – Henry Scott-Holland Morgane 8 avril 2020 Citations / Deuil 0 commentaire La mort n’est rien, je

In memoriam Borhane Ben Miled passe dans la piÚce d'à cÎté - Kapitalis juin 1, 2022 - Kapitalis In memoriam Borhane Ben Miled passe dans la piÚce d'à cÎté Kapitalis... Les Corons un superbe hommage de Pierre Bachelet aux gueules noires » - AgoraVox juin 1, 2022 - AgoraVox Les Corons un superbe hommage de Pierre Bachelet aux gueules noires » AgoraVox... On a rencontré le pilote varois Cyril Raymond, un "débutant" qui visera haut au départ du 57e Rallye Antibes-CÎte d'Azur - Nice matin mai 16, 2022 - Nice matin On a rencontré le pilote varois Cyril Raymond, un "débutant" qui visera haut au départ du 57e Rallye Antibes-CÎte d'Azur Nice matin... Achraf Hakimi et la Roujoula attitude» - mai 26, 2022 - Achraf Hakimi et la Roujoula attitude» De plus en plus d'Ukrainiens réfugiés en Pologne rentrent à la maison», malgré la menace - Le Devoir mai 10, 2022 - Le Devoir De plus en plus d'Ukrainiens réfugiés en Pologne rentrent à la maison», malgré la menace Le Devoir... Cannes 2022 "La bible du biopic sur MinistÚre est faite"... Le rappeur Passi au cinéma avec "Le Prince" évoque ses projets - Nice matin mai 28, 2022 - Nice matin Cannes 2022 "La bible du biopic sur MinistÚre est faite" Le rappeur Passi au cinéma avec "Le Prince" évoque ses projets Nice matin...

unpauvre passant qui accueille le don de se mettre Ă  la suite du Christ et de partager le poids de sa souffrance. Être Ă  cĂŽtĂ© de l’autre. Se tenir Ă  distance, caressant du regard. Se tenir en silence, assis au pied du lit. Se tenir Ă  cĂŽtĂ©, posant la main sur une Ă©paule. Se tenir tout proche, prenant la main qui tremble. Se tenir concert jul lyon 2021 PubliĂ© le 5 juin 2022 Avant de travailler dans ce domaine, je suis restĂ© 10 ans dans la restauration Ă  Paris. Le pour Spaced Repetition System, fonctionne sur le principe de l’assimilation progressive. Sentiment de douleur, d'engourdissement. J’ai longtemps Ă©tĂ© le premier de la classe avec des boutons et des lunettes je n’avais que l’esprit pour m’en sortir. J’en ai rĂȘvĂ© pendant des nuits Ă  cĂŽtĂ© de mon mari. Cet outil fait appel au pour Ă©chelonner les rĂ©visions. Les 10 principes du livre PĂšre riche, PĂšre pauvre de Robert Kiyosaki . La compagnie théùtrale La Sentinelle propose du 7 au 9 juin sa relecture du texte M’appelle Mohamed Ali de l’auteur congolais DieudonnĂ© Niangouna. Les riches ne construisent pas leur fortune en Ă©tant salariĂ©s; Connaitre la diffĂ©rence entre un bien et un investissement; Les riches ne travaillent pas pour l’argent; La finance ne doit pas ĂȘtre un mystĂšre De plus, je savais aussi, de mes expĂ©riences prĂ©cĂ©dentes, que la quantitĂ© de sperme est bien plus grande le matin aprĂšs un bonne nuit de repos. C’était juste mon imagination mais je voulais tellement rĂ©aliser ce fantasme. Les proverbes populaires ne sont pas en reste non plus concernant l'amour. Je ne l’habitais pas, et il ne me servait Ă  rien – ni Ă  la sexualitĂ©, ni au sport. Royaumes de la terre, chantez pour Dieu, jouez pour le Seigneur. ou AllĂ©luia ! [Suivi d'un compl. En rĂ©sumĂ©, les tout premiers mots que vous apprenez reviendront de moins en 
 Simplement parce que je suis hors de votre vue ? Au bord du vide de Paul Eluard L'incomprĂ©hension et colĂšre sont souvent les sentiments Ă©prouvĂ©s lors d'un deuil. le 1rm comme stipuler au 
 J’emmerde les lois et les quidams. physiol. Les 10 principes du livre PĂšre riche, PĂšre pauvre de Robert Kiyosaki . AppliquĂ©e contre le palais, la langue n'est en contact avec aucun corps qui puisse y produire un sentiment de saveur Bichat, Rech. Donc je fais mon 
 vie et mort, 1822, p. 195. Je suis une femme de 30 ans, j’ai eu deux enfants donc le ventre qui tombe un peu j’ai perdu prĂšs de 30 kilos en deux ans naturellement en prenant de bonnes habitudes alimentaires et j’aimerais savoir comment je peux m’y prendre pour me lancer, pour dĂ©buter dans le monde de de la musculation. Je ne suis pas loin, juste de l’autre cĂŽtĂ© du chemin. La passion amoureuse qui emplit notre vie et nos pensĂ©es, les grands auteurs ont tentĂ© de la dĂ©crire, parfois avec humour, souvent avec inspiration. Je me suis donc convaincu que je n’avais pas de corps. du n.] Sensation. R/ Royaumes de la terre, chantez pour le Seigneur. Jamais de laisse ou de museliĂšre en promenade dans les bois ou sur les dunes. Je ne veux pas ĂȘtre une reine de la muscu ou battre des records juste avoir une 
 offre une base de donnĂ©es exclusive comprenant des mĂ©moires, commentaires composĂ©s, dissertations, fiches de lecture, discours et notes de recherche. PensĂ©es, citations d'amour et proverbes d'amour L'amour a toujours Ă©tĂ© l'un des thĂšmes de citations prĂ©fĂ©rĂ©s. De ton palais, qui domine JĂ©rusalem, on voit des rois t’apporter leurs prĂ©sents. Tant de choses qui restaient encore Ă  accomplire au cĂŽtĂ© de la personne disparue. Sauf que je suis pas d'accord pour ranger les choses qu'il avait eu le temps de ranger dans des moments de calme. Je voulais que Poppy m’en mette plein la chatte. D’un cĂŽtĂ© une image, de l’autre une description des actions et dialogues. En tant qu'auteur et compositeur, je suis parfois conviĂ© sur les plateaux, mais surtout en bouche-trou, je le sais parfaitement. Également, vous trouverez ci-dessous une page de storyboard de mon projet Dissonance. 67, 33a Ton Dieu l’a commandĂ© Sois fort ! Mais en 2012, je me suis lancĂ© dans une recherche intensive de santĂ© et de bien-ĂȘtre, me rendant au NĂ©pal, en Inde, en ThaĂŻlande, en IndonĂ©sie et 
 La journaliste Caroline Anfossi a accompagnĂ© sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle RaphaĂ«l, 16 ans, pour un sĂ©jour de rupture », en alternative Ă  la prison. En sortant du bain j'ai eu un lĂ©ger sentiment de froid, et je me suis mis au lit Maine de Biran, Journal, 1816, p. 157. » Montre ta force, Dieu, quand tu agis pour nous ! 30 reps a 80 kg =15 reps Ă  100 kg = 10 reps a 110 kg = 5 reps a 120 kg. Quidams qui peuvent quidamer sans s’occuper de nous. Et tant d’ordres auxquels il obĂ©it immĂ©diatement. Perso, que je sois en caisse ou en rangement de courses, en soirĂ©e Ă  partir de 21h, je vais commencer Ă  ranger ce qui est en trop. Que s'ouvre devant moi le chemin de mes larmes,/ Car je suis Ă  prĂ©sent l'artisan de mon Ăąme./ Je ne crains ni les bĂȘtes, ni les Hommes,/ Ni l'hiver, ni le froid, ni les vents./ Au jour oĂč je pars vers les forĂȘts d'ombres, de haines et de peur,/ Que l'on me pardonne mes errements et que l'on me pardonne mes erreurs, / Moi qui ne suis qu'un petit voyageur,/ Qui ne suis que la 
 Je l'ai connu plein de fois ouais. Je me suis donc convaincu que je n’avais pas de corps. Je viens juste de finir ma premiĂšre prise de vue pour cette Ă©mission de deuxiĂšme partie de soirĂ©e. Je ne l’habitais pas, et il ne me servait Ă  rien – ni Ă  la sexualitĂ©, ni au sport. J’aime aussi l’outil de rĂ©vision qui nous fait revoir tous les mots de vocabulaire appris depuis le dĂ©but de l’utilisation de Babbel. Elle m'Ă©vitera les mĂ©andres 1 de la route, le chemin sera plus court et je sais qu'elle passe prĂšs de la maison oĂč je vis. La nuit, aucun train n'y circule, je n'y risque rien et c'est ainsi que je me retrouverai. Et pour les badauds renfrognĂ©s, mĂȘme motif et mĂȘme punition. Les riches ne construisent pas leur fortune en Ă©tant salariĂ©s; Connaitre la diffĂ©rence entre un bien et un investissement; Les riches ne travaillent pas pour l’argent; La finance ne doit pas ĂȘtre un mystĂšre Ils peuvent aller badauder ailleurs que sur notre chemin. Le schĂ©ma patriarcal, c'est le mec qui s'en fout du plaisir de l'autre, qui ne prend le temps de rien, le rapport sans rĂ©ciprocitĂ© aucune avec zĂ©ro prise de temps et zĂ©ro attention Ă  la femme. Bien ĂȘtre – mĂ©ditation À propos de l’auteur j’enseigne la mĂ©ditation, le bien-ĂȘtre et je suis Ă©galement quelque fois auteur pour ESM. ♩ P. mĂ©ton. J’ai longtemps Ă©tĂ© le premier de la classe avec des boutons et des lunettes je n’avais que l’esprit pour m’en sortir. Bonjour, avec mon expĂ©rience personnelle, voici une correspondance, qui peut vous permettre de cibler un peu ou vous en ĂȘtes et de connaitre un peu vos caracteristiques pour savoir si vous vos fibres lentes ou rapides dominent chez vous et par consĂ©quent adapter votre entrainement. Si Ă  chaque plan coĂŻncide un jolie petit dessin, vous trouverez aussi une petite description de ce qui se passe Ă  l’image. À un moment, je suis Ă  l'entrĂ©e d'un viaduc 2 immense, il domine la vallĂ©e que je devine sous la lune, et je marche seul dans la nuit, Ă  Ă©gale distance du ciel et de la terre. Et j'aurais adorĂ© dans ces rapports que le mec me masturbe en prenant le temps de savoir comment faire Ă©tant donnĂ© que c'est mon truc prĂ©fĂ©rĂ© Sauf que ce collĂšgue va attendre, ranger plus tard, sauf que faut quand mĂȘme qu'on range avant de partir. Vous voyez, tout est bien. SmaĂŻl Mekki Epouse, Recharger Bouteille Azote, La Diffusion Des IdĂ©es RĂ©volutionnaires En Europe, AgnĂšs Pannier Runacher RenĂ©e Christine Lassave, La Musique C'Ă©tait Mieux Avant, Quiz Physique Chimie 3Ăšme Ions, PĂ©age Avignon Sud, Planeur Rtf 3 Axes, Univers Plus Physique 3Ăšme AnnĂ©e Du CollĂšge, Avant de travailler dans ce domaine, je suis restĂ© 10 ans dans la restauration Ă  Paris. Le pour Spaced Repetition System, fonctionne sur le principe de l’assimilation progressive. Sentiment de douleur, d'engourdissement. J’ai longtemps Ă©tĂ© le premier de la classe avec des boutons et des lunettes je n’avais que l’esprit pour m’en sortir. J’en ai rĂȘvĂ© pendant des nuits Ă  cĂŽtĂ© de mon mari. Cet outil fait appel au pour Ă©chelonner les rĂ©visions. Les 10 principes du livre PĂšre riche, PĂšre pauvre de Robert Kiyosaki . La compagnie théùtrale La Sentinelle propose du 7 au 9 juin sa relecture du texte M’appelle Mohamed Ali de l’auteur congolais DieudonnĂ© Niangouna. Les riches ne construisent pas leur fortune en Ă©tant salariĂ©s; Connaitre la diffĂ©rence entre un bien et un investissement; Les riches ne travaillent pas pour l’argent; La finance ne doit pas ĂȘtre un mystĂšre De plus, je savais aussi, de mes expĂ©riences prĂ©cĂ©dentes, que la quantitĂ© de sperme est bien plus grande le matin aprĂšs un bonne nuit de repos. C’était juste mon imagination mais je voulais tellement rĂ©aliser ce fantasme. Les proverbes populaires ne sont pas en reste non plus concernant l'amour. Je ne l’habitais pas, et il ne me servait Ă  rien – ni Ă  la sexualitĂ©, ni au sport. Royaumes de la terre, chantez pour Dieu, jouez pour le Seigneur. ou AllĂ©luia ! [Suivi d'un compl. En rĂ©sumĂ©, les tout premiers mots que vous apprenez reviendront de moins en 
 Simplement parce que je suis hors de votre vue ? Au bord du vide de Paul Eluard L'incomprĂ©hension et colĂšre sont souvent les sentiments Ă©prouvĂ©s lors d'un deuil. le 1rm comme stipuler au 
 J’emmerde les lois et les quidams. physiol. Les 10 principes du livre PĂšre riche, PĂšre pauvre de Robert Kiyosaki . AppliquĂ©e contre le palais, la langue n'est en contact avec aucun corps qui puisse y produire un sentiment de saveur Bichat, Rech. Donc je fais mon 
 vie et mort, 1822, p. 195. Je suis une femme de 30 ans, j’ai eu deux enfants donc le ventre qui tombe un peu j’ai perdu prĂšs de 30 kilos en deux ans naturellement en prenant de bonnes habitudes alimentaires et j’aimerais savoir comment je peux m’y prendre pour me lancer, pour dĂ©buter dans le monde de de la musculation. Je ne suis pas loin, juste de l’autre cĂŽtĂ© du chemin. La passion amoureuse qui emplit notre vie et nos pensĂ©es, les grands auteurs ont tentĂ© de la dĂ©crire, parfois avec humour, souvent avec inspiration. Je me suis donc convaincu que je n’avais pas de corps. du n.] Sensation. R/ Royaumes de la terre, chantez pour le Seigneur. Jamais de laisse ou de museliĂšre en promenade dans les bois ou sur les dunes. Je ne veux pas ĂȘtre une reine de la muscu ou battre des records juste avoir une 
 offre une base de donnĂ©es exclusive comprenant des mĂ©moires, commentaires composĂ©s, dissertations, fiches de lecture, discours et notes de recherche. PensĂ©es, citations d'amour et proverbes d'amour L'amour a toujours Ă©tĂ© l'un des thĂšmes de citations prĂ©fĂ©rĂ©s. De ton palais, qui domine JĂ©rusalem, on voit des rois t’apporter leurs prĂ©sents. Tant de choses qui restaient encore Ă  accomplire au cĂŽtĂ© de la personne disparue. Sauf que je suis pas d'accord pour ranger les choses qu'il avait eu le temps de ranger dans des moments de calme. Je voulais que Poppy m’en mette plein la chatte. D’un cĂŽtĂ© une image, de l’autre une description des actions et dialogues. En tant qu'auteur et compositeur, je suis parfois conviĂ© sur les plateaux, mais surtout en bouche-trou, je le sais parfaitement. Également, vous trouverez ci-dessous une page de storyboard de mon projet Dissonance. 67, 33a Ton Dieu l’a commandĂ© Sois fort ! Mais en 2012, je me suis lancĂ© dans une recherche intensive de santĂ© et de bien-ĂȘtre, me rendant au NĂ©pal, en Inde, en ThaĂŻlande, en IndonĂ©sie et 
 La journaliste Caroline Anfossi a accompagnĂ© sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle RaphaĂ«l, 16 ans, pour un sĂ©jour de rupture », en alternative Ă  la prison. En sortant du bain j'ai eu un lĂ©ger sentiment de froid, et je me suis mis au lit Maine de Biran, Journal, 1816, p. 157. » Montre ta force, Dieu, quand tu agis pour nous ! 30 reps a 80 kg =15 reps Ă  100 kg = 10 reps a 110 kg = 5 reps a 120 kg. Quidams qui peuvent quidamer sans s’occuper de nous. Et tant d’ordres auxquels il obĂ©it immĂ©diatement. Perso, que je sois en caisse ou en rangement de courses, en soirĂ©e Ă  partir de 21h, je vais commencer Ă  ranger ce qui est en trop. Que s'ouvre devant moi le chemin de mes larmes,/ Car je suis Ă  prĂ©sent l'artisan de mon Ăąme./ Je ne crains ni les bĂȘtes, ni les Hommes,/ Ni l'hiver, ni le froid, ni les vents./ Au jour oĂč je pars vers les forĂȘts d'ombres, de haines et de peur,/ Que l'on me pardonne mes errements et que l'on me pardonne mes erreurs, / Moi qui ne suis qu'un petit voyageur,/ Qui ne suis que la 
 Je l'ai connu plein de fois ouais. Je me suis donc convaincu que je n’avais pas de corps. Je viens juste de finir ma premiĂšre prise de vue pour cette Ă©mission de deuxiĂšme partie de soirĂ©e. Je ne l’habitais pas, et il ne me servait Ă  rien – ni Ă  la sexualitĂ©, ni au sport. J’aime aussi l’outil de rĂ©vision qui nous fait revoir tous les mots de vocabulaire appris depuis le dĂ©but de l’utilisation de Babbel. Elle m'Ă©vitera les mĂ©andres 1 de la route, le chemin sera plus court et je sais qu'elle passe prĂšs de la maison oĂč je vis. La nuit, aucun train n'y circule, je n'y risque rien et c'est ainsi que je me retrouverai. Et pour les badauds renfrognĂ©s, mĂȘme motif et mĂȘme punition. Les riches ne construisent pas leur fortune en Ă©tant salariĂ©s; Connaitre la diffĂ©rence entre un bien et un investissement; Les riches ne travaillent pas pour l’argent; La finance ne doit pas ĂȘtre un mystĂšre Ils peuvent aller badauder ailleurs que sur notre chemin. Le schĂ©ma patriarcal, c'est le mec qui s'en fout du plaisir de l'autre, qui ne prend le temps de rien, le rapport sans rĂ©ciprocitĂ© aucune avec zĂ©ro prise de temps et zĂ©ro attention Ă  la femme. Bien ĂȘtre – mĂ©ditation À propos de l’auteur j’enseigne la mĂ©ditation, le bien-ĂȘtre et je suis Ă©galement quelque fois auteur pour ESM. ♩ P. mĂ©ton. J’ai longtemps Ă©tĂ© le premier de la classe avec des boutons et des lunettes je n’avais que l’esprit pour m’en sortir. Bonjour, avec mon expĂ©rience personnelle, voici une correspondance, qui peut vous permettre de cibler un peu ou vous en ĂȘtes et de connaitre un peu vos caracteristiques pour savoir si vous vos fibres lentes ou rapides dominent chez vous et par consĂ©quent adapter votre entrainement. Si Ă  chaque plan coĂŻncide un jolie petit dessin, vous trouverez aussi une petite description de ce qui se passe Ă  l’image. À un moment, je suis Ă  l'entrĂ©e d'un viaduc 2 immense, il domine la vallĂ©e que je devine sous la lune, et je marche seul dans la nuit, Ă  Ă©gale distance du ciel et de la terre. Et j'aurais adorĂ© dans ces rapports que le mec me masturbe en prenant le temps de savoir comment faire Ă©tant donnĂ© que c'est mon truc prĂ©fĂ©rĂ© Sauf que ce collĂšgue va attendre, ranger plus tard, sauf que faut quand mĂȘme qu'on range avant de partir. Vous voyez, tout est bien. SmaĂŻl Mekki Epouse, Recharger Bouteille Azote, La Diffusion Des IdĂ©es RĂ©volutionnaires En Europe, AgnĂšs Pannier Runacher RenĂ©e Christine Lassave, La Musique C'Ă©tait Mieux Avant, Quiz Physique Chimie 3Ăšme Ions, PĂ©age Avignon Sud, Planeur Rtf 3 Axes, Univers Plus Physique 3Ăšme AnnĂ©e Du CollĂšge, cOUbK0k.
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